La Cour suprême des Rumeurs et Ragots ment à l’OIF
Elle se donne les airs de la petite bécasse à la vertu intacte
Par ARM
Si le rire pouvait tuer, un véritable génocide se serait produit aux Comores. Qu’on s’en rende compte! Malgré le climat politique pourri des Comores actuellement, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a, en pure perte, dépêché une mission aux Comores dans la perspective de la mascarade électorale en cours de préparation. Comme il fallait s’y attendre, les agents de l’OIF sont allés perdre leur temps du côté de la Cour suprême des Rumeurs et Ragots de bas étages. Et là, toute honte bue, les prostitués qui y dévoient le Droit ont juré que leur institution est des plus honorables, qu’elle offre toutes les garanties pour des élections libres, démocratiques et transparentes, qu’eux-mêmes sont des personnes correctes. On retiendra en particulier les mensonges criminels de la créature immonde et méprisable répondant au nom d’Armia Ahmed (Photo).
Cheikh Salim, son amant de 30 ans, s’est également noyé dans les mensonges, notamment quand il prétend que «les magistrats sont toujours nommés par le chef de l’État selon leurs compétences, probité, intégrité et leur caractère apolitique. J’ai totalement confiance en mes collaborateurs». Quelle connerie! De la compétence pour des incompétents? De la probité pour des ripoux? De l’intégrité pour des brigands sans honneur, ni dignité, qui invalident des candidatures juridiquement inattaquables et valident celle d’un mort-vivant qui tombe en public? Du caractère apolitique pour des mercenaires dégoulinant d’obséquiosité devant le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger»?
Pourquoi ces gens-là ne connaissent-ils pas la notion de honte? Depuis quand la section administrative d’une Cour suprême s’occupe-t-elle de problèmes électoraux, et où ces gens-là ont-ils vu qu’une telle chose peut se faire? Il y a plus grave: en dehors de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, même dans les autres dictatures les plus sombres, les tyrans les plus sadiques et les plus bornés évitent de s’approprier totalement la nomination de membres des institutions chargées des élections. Or, Cheikh Salim et sa maîtresse de 30 ans prétendent crânement que même si c’est le dictateur de Mitsoudjé qui les a tous nommés, ils ne vont pas lui faire des gâteries électorales. La sainte nitouche Armia Ahmed devance les critiques et dit à l’OIF qu’il y aura des contestations mais qu’elles seront de mauvaise foi. Pourquoi à son âge, cette femme n’apprend-elle pas, enfin, la signification du mot «honte»?
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 4 mars 2019.
