Le courage de Soilih Mohamed Soilih plébiscité partout
Par un vrai sondage, les Comoriens plébiscitent son honnêteté
Par ARM
La Voix des Comores vient de réaliser un sondage. Celui-ci a été effectué sur la base d’un échantillon représentatif de 1.000 personnes. La question posée est: «Soilih Mohamed Soilih (SMS) a-t-il bien fait de dénoncer Azali?». Les résultats obtenus sont époustouflants et très parlants, et sont sans commune mesure avec les élucubrations pathétiques truquées du faussaire sans honneur, ni dignité Msa Ali Djamal, porteur de marmites et casseroles du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger»: 78% des Comoriens approuvent la dignité, le courage et l’honnêteté de Soilih Mohamed Soilih face à la satrapie de Mitsoudjé.
C’est mérité. Soilih Mohamed Soilih savait qu’en dénonçant sur les médias internationaux la dictature folle du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, il perdait son poste d’Ambassadeur des Comores à l’ONU et aux États-Unis. Pourtant, il est monté au créneau et a dénoncé une dictature abjecte et ignominieuse.
Sa dénonciation de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé est d’autant plus intelligente, utile et patriotique que maintenant, tous ses homologues à l’ONU et aux États-Unis et le reste de la communauté internationale connaissent le calvaire dans lequel sont plongés les Comoriens du fait de la violence sans intelligence du bambochard Assoumani Azali Boinaheri. Qui plus est, de nombreux candidats à la mascarade électorale en cours de préparation aux Comores l’appellent pour lui proposer de travailler avec lui, pour le bien du pays.
En homme de principes, Soilih Mohamed Soilih ne rejette personne mais, insiste sur six points qui lui semblent fondamentaux.
1.- Le respect de l’Accord-cadre de réconciliation nationale signé à Fomboni le 17 février 2001 et de la présidence tournante telle que définie originellement par la Constitution du 23 décembre 2001.
2.- La formation d’un gouvernement d’union nationale.
3.- L’élection d’une Assemblée constituante.
4.- Le lancement d’un programme Vérité et Réconciliation, intégrant une enquête objective, neutre et indépendante sur «la citoyenneté économique».
5.- La suppression de la Cour de Sûreté de l’État et la libération et réhabilitation de tous les prisonniers politiques.
6.- La signature publique à Anjouan d’un Pacte patriotique dès le premier tour de la mascarade électorale actuelle, avec un serment sur le Coran, pour soutenir tout candidat devant affronter le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri au deuxième tour, avec pour mission d’organiser en 2021 une élection qui portera à la tête du pays l’un des trois candidats qui seront désignés par l’élection primaire devant être organisée à Anjouan pour ce faire.
Il est donc temps pour les candidats disant aimer leur pays d’assumer leurs responsabilités face à Dieu, à l’Histoire et aux Comoriens.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 4 mars 2019.
