Mme Attoumani Ali accuse Mme Idaroussi Hamadi

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Mme Attoumani Ali accuse Mme Idaroussi Hamadi

Elle l’accuse d’inhumanité à l’assassinat de son mari

Par ARM

       Le pauvre Attoumani Ali Hamidi de Djongoué, en Grande-Comore, a été assassiné le 2 décembre 2019 par le neveu chéri du dictateur fou de Mitsoudjé, Idaroussi Hamadi, dit «Tonton-m’a-dit», le «Régent des Comores», «Monsieur Moitié» (son corps actuel est composé à moitié des organes volés sur Attoumani Ali Hamidi après son assassinat) ou «Pièces détachées». Monsieur Neveu a un cancer. Le mari de la sœur de sa femme s’appelait Attoumani Ali Hamidi. «Tonton-m’a-dit» a proposé à Attoumani Ali Hamidi un poste au Consulat des Comores à Dubaï, aux Émirats Arabes Unis, pour qu’il donne le biberon et le sein à sa fille qui y étudie et qui est plongée dans une hystérie capricieuse la poussant à exiger à ses côtés un chaperon. Le Régent des Comores demanda à Attoumani Ali Hamidi de l’accompagner à New Delhi, Inde, où il suit un traitement contre son cancer et où il le fit assassiner pour lui voler les organes qui devaient lui permettre de remplacer les parties de son corps détruites par le cancer.

Malgré les cachotteries sur cet assassinat d’État, la thèse du crime finit par être prouvée par des éléments inattaquables. L’épouse d’Attoumani Ali Hamidi est la sœur de celle de «Tonton-m’a-dit». Elle ne comprend toujours pas l’inhumanité qui a poussé sa propre sœur à ne pas accompagner la dépouille mortelle de son beau-frère aux Comores alors qu’elle était en Inde au moment où son époux a fait assassiner le mari de sa sœur. L’épouse d’Attoumani Ali Hamidi accuse carrément sa sœur, épouse de l’assassin Idaroussi Hamadi, d’«inhumanité et de manque d’humanité». Elle dit clairement que sa sœur avait plusieurs raisons de raccompagner le corps de son mari aux Comores: Attoumani Ali Hamidi était son beau-frère, était à Dubaï à la demande de «Tonton-m’a-dit», était parti en Inde à la demande de celui-ci, étant entendu qu’au moment de l’assassinat d’Attoumani Ali Hamidi en Inde, Madame «Tonton-m’a-dit» était elle aussi en Inde, mais considère que la victime, son propre beau-frère, est un simple mouton égorgé lors du pèlerinage en Arabie, et non un être humain.

Cette fâcherie entre les deux sœurs va être à l’origine de dangereuses révélations sur les crimes commis par la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 18 décembre 2019.


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