Légitimité de l’attentat contre Moustadroine Abdou
La chair humaine n’est pas à manger. La sienne est halal
Par ARM
Surtout qu’on ne vienne pas dire à nos valeureux patriotes d’aller vers l’apaisement, suite à la tentative d’assassinat visant Moustadroine Abdou «Mafitsi» («Foutaises») dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 juillet 2018. Sa voiture a essuyé des tirs à balles réelles le visant mais l’ayant raté de peu à Anjouan. Le voyou a dû son salut dans la fuite, mais la prochaine fois sera la bonne: il n’en sortira pas vivant. L’ivrogne national recyclé dans les injures et menaces publiques est très engagé dans l’insolence envers tout un peuple. Ce malade mental a commencé à s’illustrer tristement par la violence physique depuis le second tour de l’élection présidentielle atrocement truquée de 2016.
Ses séides et lui-même avaient empêché 11.500 électeurs d’Anjouan (10% de l’électorat de l’île) de voter, et avaient même fracassé les bureaux de vote. Ce qui est puni à la fois par le Code pénal et par le Code électoral. Corrompues par le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», la Commission électorale nationale «indépendante» (CÉNI) et la Cour constitutionnelle n’avaient fait voter que 3.000 de ces 11.500 électeurs, dans une débauche de fraude électorale et dans l’unique but de favoriser le clan des voyous.
L’attentat visant l’ivrogne national et insulteur public Moustadroine Abdou «Mafitsi» est entièrement légitime. La mort de ce voyou aurait été une œuvre de salubrité publique. Il a semé la haine par ses paroles blessantes et vexatoires, il récolte la détestation et bientôt la mort violente. Même si on ne mange pas de la chair humaine, celle de l’ivrogne Moustadroine Abdou «Mafitsi» est halal comme celle d’un bovin abattu selon le rite islamique.
Moustadroine Abdou «Mafitsi» et son «peureux-sident» qu’est le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri ont déclaré la guerre au paisible peuple des Comores parce qu’ils croient qu’ils ont le monopole de la violence. Eh bien, la peur a changé de camp car, comme disait Charles Pasqua, flamboyant ministre de l’Intérieur en 1986-1988 et en 1993-1995, «il faut terroriser les terroristes», et aujourd’hui, aux Comores, ce sont les terroristes au pouvoir qui sont terrorisés. Ils ne dorment plus chez eux et sont constamment accompagnés de gardes du corps, qui n’accepteront pas de mourir pour des bandits.
Bientôt, nous serons tous dans les rues des Comores pour défendre notre pays contre l’agression terroriste que lui fait subir la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Nous allons défendre notre pays à mains nues dans une guerre juste contre une association de malfaiteurs. Nous n’aurons même pas besoin d’armes. Notre foi et nos convictions patriotiques nous suffiront. Quand nous descendrons dans les rues pour cette légitime défense, aucune médiation ne nous arrêtera avant d’avoir détrôné le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri et son épouse Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger». Dans toutes les législations du monde, toute personne agressée a le droit de se défendre. Cela s’appelle de la légitime défense.
Les Comoriens ont commencé à se défendre car, en plus de l’attentat légitime visant Moustadroine Abdou «Mafitsi», nos valeureux patriotes ont rossé et fouetté comme il se doit l’ancien Premier ministre Ibrahim Halidi Abderemane, l’un des terroristes employés par le bambochard Assoumani Azali Boinaheri pour semer la terreur à Anjouan. Ce combat héroïque du peuple comorien finira par la défaite des terroristes de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.
«La patrie ou la mort! Nous vaincrons!»
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 22 juillet 2018.
