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On s’en fout des fanfaronnades publicitaires de Mzimba

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On s’en fout des fanfaronnades publicitaires de Mzimba

L’étalage de ses faux diplômes et de ses photos? Enfantin!

Par ARM

       Le pauvre chéri… Le faussaire international Ibrahim Ali Mzimba n’a pas encore compris que son principal problème dans ce monde relève de son manque d’humanité. Il n’est pas humain. Il écrase l’humanité entière par son mépris, croyant pouvoir compenser son infériorité par un complexe de supériorité. Au fond, il ne s’aime pas et se serait voulu autrement, loin de sa personne, loin de ses origines sociales, loin de ses origines villageoises, loin de l’échec cuisant qu’il a subi dans ses études secondaires et supérieures. Comment, en Grande-Comore, peut-on analyser le comportement complètement fou d’un homme qui se tue pour organiser son grand mariage, mais qui, le jour de la cérémonie d’entrée dans la maison de la mariée a fui par mépris?

À un moment où ses faux diplômes sont étalés sur la place publique internationale, au lieu de cacher sa nudité par un slip, il achète une bague en or. Le proverbe des Comores signale qu’un homme dénudé s’assied pour cacher sa nudité, mais lui se lève et l’exhibe. Il se paie une grosse publicité, alors que les hommes d’affaires étrangers qu’il avait l’habitude d’escroquer à Moroni daubent sur son dos, ricanent en parlant de lui, rient sous cape en pensant à lui. À quoi ça lui sert d’étaler des photos pour montrer qu’il a une villa, qu’il a été photographié avec des dirigeants étrangers ou à l’ONU? Qui parmi nous n’a pas été photographié aux côtés de dignitaires étrangers ou d’intellectuels de renommée mondiale? Quand on a de vrais diplômes, on ne les étale pas sur Internet.

Alors, il ne sera jamais sauvé par ses fanfaronnades publicitaires. Il est discrédité même auprès des femmes des villages à qui il vend de faux documents administratifs français. Allez le lui dire…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 21 septembre 2021.


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