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La CRC rééduque ses vieilles haridelles en totalitarisme en Chine

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La CRC rééduque ses vieilles haridelles en totalitarisme en Chine

Renforcer leurs convictions et pratiques totalitaires en pays totalitaire

Par ARM

       Les masses populaires des Comores se réjouissent pour une fois, et présentent leurs sincères compliments et félicitations à la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC) de Monsieur Fils Nour El Fath, fils de son Père, le dictateur totalitaire Assoumani Azali Boinaheri, et de sa mère, la dictatrice Ambari Darouèche, dont l’adjoint putatif n’est autre que Bellou Magochi, toujours dégoulinant d’obséquiosité envers tout membre de la hideuse famille totalitaire de Mitsoudjé. Le parti unique et monolithique de Mitsoudjé a eu la délicieuse et exquise idée d’affirmer officiellement son rejet définitif de l’État de Droit, de la démocratie, des droits de l’Homme et du pluralisme politique, et ce, en dépêchant en République Populaire de Chine, dictature totalitaire pratiquant le racisme le plus virulent envers les Noirs d’Afrique, 10 de ses membres pour un stage en totalitarisme violent, aveugle et répressif. C’est toujours ça de pris pour une organisation politique criminelle basée sur le crime par assassinat d’innocents, le vol d’argent public, l’exclusion, l’ostracisme, «la tenue» d’élections qui n’ont jamais lieu, et la glorification par soumission totale à un dictateur totalitaire corrompu et incompétent, incapable de dire «nonobstant», mais «nobostant».

       La Chine Populaire n’a qu’un seul parti politique, le parti-État ou Parti communiste, et n’a jamais consulté son «peuple» pour la désignation de ses dirigeants. Elle tue publiquement ses opposants exactement comme sous la dictature de Mitsoudjé. Elle impose par la force tous ses opposants, exactement comme sous le régime politique de la CRC à Mitsoudjé. Comme on dit, «qui se ressemble s’assemble». Il aurait fallu inclure le shakespearien, Son Éminence Saïd Ahmed Saïd Ali de la Place Rouge de Ntsoudjini, dans cette délégation des enfers. Donc, la CRC ne pouvait trouver meilleure destination pour ses voleurs de poules, ses étrangleurs de veuves et d’orphelines, ses égorgeurs d’humains, ses coupeurs de routes, ses pilleurs de coffres d’argent du peuple et ses violeurs.

       Il y a quelques jours, ce frère de Chouani disait au téléphone: «Pour faire bonne figure, les vieilles haridelles de la CRC ont toujours recours à leur légendaire pédophilie. En réalité, ils n’ont rien là-dedans si ce n’est une vieille peau usée et pendante sur laquelle des gamines biberonnent à longueur de journée et de nuit, sans lui donner vie, pendant que le pays s’enfonce irrésistiblement dans les eaux du naufrage».

       L’ancien Président Félix Houphouët-Boigny de Côte-d’Ivoire disait que les étudiants ivoiriens formés en France devenaient des communistes, pendant que ceux formés en Union Soviétique devenaient des capitalistes. En tout état de cause, le fugitif international Hamada Madi Boléro dit Makridine, «Le Religieux de la Magouille», l’idéologue de la CRC, a été formé à Kiev, en Ukraine soviétique, où la seule chose qu’il a apprise est le totalitarisme par le parti-État et la tenue d’élections qui n’ont jamais lieu, sauf à 104%. C’est la plus belle «réussite» de sa vie, et les masses populaires des Comores l’en félicitent, puisqu’il a démenti le constat du Président Félix Houphouët-Boigny: il est revenu communiste du pays communiste, lui qui au Collège de Fomboni, s’était déjà surnommé Lénine. Il ne pouvait réussir autre chose, et la dictature de Mitsoudjé a échoué à en faire un homme d’honneur et de prestige, nonobstant (et non «nobostant») les millions de francs comoriens volés au peuple comorien et engloutis dans son prétendu grand mariage. «Grand» en quoi? Grand en indignité, indécence et déshonneur sans doute. Comme on dit joyeusement au Maroc, «il est impossible de placer un collier en perles sur le cou d’une chèvre».

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 23 avril 2024.


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