Ntsoudjini ne veut pas d’Assoumani Azali chez elle
Saïd Ahmed Saïd Ali est humilié, piétiné, rabaissé, avili
Par ARM
Ancrée dans l’Histoire et pétrie de valeurs traditionnelles de dignité et de respect, la ville de Ntsoudjini vient de signaler tout son mépris et son rejet au mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». En effet, comme cette ville s’apprête à organiser son Maoulid, la cérémonie religieuse commémorant l’anniversaire du Prophète Mohammed, les jeunes de la ville ont publié un texte proférant des menaces envers le dictateur fou de Mitsoudjé au cas où il serait tenté de s’y rendre. Comme on sait, il lui arrive souvent de payer pour qu’une ville ou un village l’invite. Face à la menace, le vantard Saïd Ahmed Saïd Ali (Photo, à gauche), qui prétend que l’écrivain anglais William Shakespeare est sa réincarnation et que lui-même est la réincarnation de ce dernier, a tout fait pour que son chef soit invité chez lui à Ntsoudjini. Il a comploté, menacé, promis, fait des yeux doux, fait la danse du ventre, brandi le bâton, brandi la carotte, essayé de corrompre. Or, le verdict est tombé: le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri ne sera pas invité à Ntsoudjini et n’a pas intérêt à s’y rendre par la force. L’humiliation est mortelle pour le dictateur et pour son manant et fanfaron Saïd Ahmed Saïd Ali, incapable de faire inviter son chef dans sa propre ville. Mais, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, rejeté partout, va devoir payer pour se faire inviter ailleurs.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 5 novembre 2019.
