• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Velléités suicidaires de Djaé Ahamada dans l’Oichili

Velléités suicidaires de Djaé Ahamada dans l’Oichili

Partagez sur

Velléités suicidaires de Djaé Ahamada dans l’Oichili

Il a ravivé sa vieille haine envers son Maoulana Charif

Par ARM

       Selon le proverbe mohélien, «le mendiant n’aime aucun autre mendiant». L’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi dit Mna Djaé, «L’Insignifiant Petit Djaé», est un mendiant et mange à tous les râteliers, y compris avec les rats, depuis la présidence d’Ahmed Sambi. Il ne va que là où il y a du pouvoir, se faisant le larbin de l’insaisissable, renversant et virevoltant Mouigni Baraka Saïd Soilihi quand ce dernier était Gouverneur de la Grande-Comore. Aujourd’hui, Djaé Ahamada Chanfi est devenu un des mendiants attitrés du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ce mendiant sans dignité est affublé du titre ronflant «Conseiller diplomatique». Entré à Bête-Salam par un trou à rats, il fait tout, vainement, pour barrer la route à son ancien pote et chef Mouigni Baraka Saïd Soilihi, et surtout à vouloir combattre qui il ne peut jamais combattre vis-à-vis du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri: le détestable Maoulana Charif.

       Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a fait de Maoulana Charif son candidat aux élections législatives qui n’auront pas lieu en janvier 2020, comme il l’avait désigné candidat au Gouvernorat de la Grande-Comore en 2016, tout en enfumant Hamidou Karihila Hamadi, le candidat officiel. Maoulana Charif et Djaé Ahamada Chanfi sont tous les deux de la région Oichili. Ils se haïssent et se méprisent à mort. Ils ont les mêmes ambitions. Mais, ce que l’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi n’a pas compris, c’est que Maoulana Charif est le vrai fils spirituel du dictateur fou de Mitsoudjé. Cela s’explique par le fait que Maoulana Charif, alors ministre de l’Économie et des Finances, a été le complice du «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri quand celui-ci a volé aux Comoriens 40 millions d’euros, 20 milliards de francs comoriens, lors de sa première kleptocratie (1999-2006). Aujourd’hui, emporté par sa folie narcissique, Djaé Ahamada Chanfi veut contredire son chef, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri, en voulant se porter candidat à la députation contre son chéri Maoulana Charif, dans la région Oichili.

Pour rappel, fin août 2017, Djaé Ahamada Chanfi avait déclaré devant une foule médusée et horrifiée lors d’un baptême à Koimbani-Oichili: «Je ne peux pas m’asseoir à côté de lui. Je ne peux pas m’asseoir à côté de Maoulana Charif. Maoulana Charif est mon pire ennemi. Je le haïs. Je ne vais pas m’asseoir aux côtés de cet ennemi. Il est mon ennemi». Aujourd’hui, refusant de jeter sa haine et sa rancune à la rivière, il a des velléités suicidaires et fratricides envers le complice du dictateur fou de Mitsoudjé. S’il ne révise pas ses ambitions à la baisse, il risque de se faire bannir de Bête-Salam dans les plus brefs délais. Certes, la dictatrice Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», a surnommé Maoulana Charif «L’Enfant méchant», mais ce dernier reste le préféré de son chéri.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Mardi 5 novembre 2019.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.