Ishaka Mdahoma, victime d’une foutaise politicienne
Sous contrôle judiciaire à cause de la non-élection de 2020
Par ARM
Ishaka Mdahoma, Commissaire à la Fonction publique au Gouvernorat de la Grande-Comore du temps de Hassani Hamadi, n’en finit pas avec les arrestations arbitraires et sans le moindre fondement légal. Chaque jour, la dictature banalisée de Mitsoudjé invente des motifs ridicules pour le persécuter. Son cas relève désormais de l’acharnement haineux. S’il était le citoyen d’un pays autre que le mouroir appelé les Comores de Mitsoudjé de Papa, les organisations de défense des droits de l’Homme dans le monde auraient déjà exprimé leur indignation en public. Mais, un Comorien tourmenté par la dictature de Mitsoudjé, vous savez…
Ishaka Mdahoma vient d’être placé sous contrôle judiciaire. Même pour manger du riz dans la soirée du jeudi, il doit au préalable demander et obtenir l’autorisation du juge, un juge forcément incompétent, corrompu et aux ordres. En plus, il doit faire le pointage chaque semaine devant ce juge maudit. Il n’a pas le droit de se déplacer vers les autres îles, encore moins vers l’étranger. Il est devenu un non-être humain. Un chien, un pou, un cafard et une fourmi changeant de sexe dans le Mato Grosso ont plus de droits que lui.
De cette affaire, on retient qu’Ishaka Mdahoma est un homme intègre, mais qui a commis le plus horrible des crimes contre l’humanité: il est en désaccord total et définitif avec la dictature du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il est un homme intelligent et brillant, et parle un «français bon père de famille», contrairement aux galimatias et au cui-cui du dictateur fou de Mitsoudjé.
Oui, Ishaka Mdahoma est un prisonnier politique, une voix dissonante que le dictateur fou de Mitsoudjé ne veut pas entendre à l’approche de ses élections législatives et communales qui n’auront pas lieu en janvier 2020. Tous les motifs qui seront invoqués contre lui ne sont que mensonges et abus de pouvoir. Qu’on se le dise!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 6 novembre 2019.
