Djaé Ahamada Chanfi, petit-fils du Prophète, s’est «TUER» à l’ONU
À la Commission des Droits de l’Homme, il porte le pantalon de Dassoukine
Par ARM
Encore lui. Ouf! Ouf! Au secours! Au secours! À l’aide! À l’aide! Il a encore frappé. «Lui» et «Il», c’est Djaé Ahamada Chanfi, surnommé Mna Djaé, Le Petit Djaé, Djaé le Minus, Djaé le Minuscule, Djaé Le Minable. Pourriture parmi les pourris de la pathétique et misérabiliste classe politique des Comores, mendiant professionnel sur une scène politique minée par la débauche sexuelle, l’incompétence et la corruption la plus indécente et la plus malsaine, Mna Djaé est officiellement ministre de la Justice, des Affaires islamiques et de la Fonction publique, en charge des Droits de l’Homme, de la Transparence et des Administrations publiques. Ouf! Ouf! Au secours! Au secours! À l’aide! À l’aide! Qu’il commence par sa propre «transparence».
Ce vendredi 3 mai 2024, Djaé Ahamada Chanfi se présente comme Dassoukine, dans «Le pantalon de Dassoukine» de Fouad Laroui, à la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU, à Genève, pour débiter les pires âneries. Il s’y croit sans doute sur une tribune maudite de la Ligue des États arabes (LÉA) ou de l’Organisation de la Commission islamique – deux organisations internationales regroupant certaines des pires dictatures de la Planète – où il peut crier sur les toits et claironner: «Je suis le petit-fils du Prophète Mohammed Ibn Abdallah. Je suis le petit-fils du Prophète Mohammed Ibn Abdallah. Je suis le petit-fils du Prophète Mohammed Ibn Abdallah. La tarte à la crème. La tarte à la crème. La tarte à la crème».
Le faussaire des diplômes qui était professeur remplaçant par «français manioc» dans des collèges difficiles de la banlieue difficile de Paris, avant de s’autoproclamer «Professeur des Universités en France», s’est «TUER» ce vendredi 3 mai 2024 à la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU par un goût prononcé du ridicule, du vulgaire, du subalterne et du pathétique. Il n’est pas humain, Djaé Ahamada Chanfi. Il n’a pas de cœur, Mna Djaé. Il n’a ni dignité, ni personnalité, Monsieur l’ancien berger de Koimbani Oichili. Comme son chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», il est resté dans un niveau de français médiocre employé par médiocrité pour exprimer les opinions les plus médiocres.
C’est ainsi que Monsieur le berger Djaé Ahamada Chanfi a osé affirmer devant la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU que «la démocratie est bien garantie chez nous», aux Comores, où tous les droits de l’Homme et toutes les libertés fondamentales ont été supprimés par la dictature de Mitsoudjé dans l’indifférence totale de la communauté internationale, voire sous ses youyous, ses applaudissements et ses encouragements. Merci beaucoup. Djaé Ahamada Chanfi n’a été capable de construire aucune phrase intelligible, compréhensible. Il est resté dans le gloubi-boulga. Un expert juridique spécialisé en Relations internationales qui a contacté votre site dans une indignation suprême a soupiré: «À côté de ça, Azali Bakapihi a l’air d’un génie». Le berger Djaé Ahamada Chanfi intervient à quatre reprises lors de ces débats fort inutiles, multipliant les conneries crasses, notamment quand il crâne en ces termes: «Il n’y avait jamais eu de service sacrifié aux Droits de l’Homme». Monsieur le berger, au lieu de «sacrifié», les participes passés «consacré» et «dédié» auraient été mieux indiqués. Qu’on se le dise! Allez le lui dire!
Et puis, il commence des phrases qu’il ne finit jamais, en bredouillant de manière incompréhensible. C’est un scandale. Sa maîtrise du sujet est inexistante. Il n’a été capable que d’offrir à la communauté internationale du vaudeville, du café de commerce, du carnaval et du festival. Et, pour finir son cinéma, il remercie des pays très éloignés de la démocratie, des pays qui n’ont jamais organisé une élection (Qatar et République Populaire de Chine), une élection au sens civilisé du terme (Russie). Merci beaucoup, «Monsieur le bon démocrate».
Nous allons revenir à la correction mot après mot, phrase après phrase, de toutes les inepties de Monsieur le berger Djaé Ahamada Chanfi. Ça en vaut la peine. Il est mauvais. Il ne vaut rien. Il a quitté la mendicité politique pour plonger dans la mendicité tout court. Pouah! Justement, quand va-t-il célébrer son nouveau grand mariage de crash d’avion, de mort de famille entière et de deuil national?
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 5 mai 2024.
