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«Attentat» bidon d’Assoumani Azali contre lui-même

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«Attentat» bidon d’Assoumani Azali contre lui-même

Une mascarade pour faire du dictateur fou une «victime»

Par ARM

     Le pauvre chéri… Ayant bien compris la détestation, la haine et le mépris que lui vouent à mort les Comoriens, maintenant, il fait tout pour se poser en «victime». Oui, de source autorisée, on apprend que «l’attentat terroriste» qui a eu lieu à Anjouan le jeudi 7 mars 2019 prétendument contre le dictateur fou de Mitsoudjé était une pure mascarade organisée par «la victime» elle-même: le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il s’agit d’une mascarade. Il s’agit d’un coup monté par le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri lui-même contre lui-même, par pur mensonge, à un moment où il empêche ses concurrents de se déplacer pour les besoins de leur campagne électorale, bloque leurs comptes bancaires et interdit le dédouanement de leurs supports de campagne électorale.

Or, toute honte bue, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri ose prétendre: «Je veux condamner au plus haut point cet acte terroriste lâche et criminel. En s’attaquant à ma personne, c’est à la démocratie aux Comores que l’on s’attaque! Et ceci est vrai pour tout acte de violence qui pourrait viser chacun des candidats en lice dans ces élections». Où a-t-il vu qu’il y a de la démocratie aux Comores? Où a-t-il vu qu’un autre candidat a été visé par un attentat? Pourquoi ose-t-il associer son nom à la démocratie?

     Houmed Msaïdié Mdahoma, lui non plus, ne sort grandi de cette affaire, lui qui érige un dictateur fou en institution: «En s’attaquant à nos institutions, c’est à la démocratie comorienne toute entière qu’on s’attaque». Ah bon? Parce qu’il existe une démocratie aux Comores? Parce qu’il existe encore des institutions aux Comores? Une fois de plus, lier le nom d’un dictateur violent à la démocratie est une obscénité criminelle. Or, Houmed Msaïdié Mdahoma ose parler des «acquis de notre jeune démocratie» alors que les Comores sont dans une dictature violente et mensongère.

Houmed Msaïdié Mdahoma se couvre de honte et de ridicule en affirmant bêtement que «le Président-candidat condamne avec la plus grande fermeté tout acte de violence et demande au gouvernement de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de tous les candidats, en espérant que celle-ci se passe dans le calme et la sérénité». Ah oui? Mais, qu’est-ce qui doit «se passer dans le calme et la sérénité»? Il ne le dit pas. Et puis, il ne sert à rien d’évoquer la sécurité des autres candidats, puisque celle-ci n’est guère menacée, sauf par la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.

Houmed Msaïdié Mdahoma confond le mot «palier» avec le verbe «pallier». C’est très grave surtout de la part d’un Directeur de campagne électorale. En plus, il doit savoir que les «paliers», on les franchit au lieu de les atteindre.

Allez lui dire que la médiocrité et le caractère nullissime de son communiqué bidon destiné à condamner un attentat bidon lui vont très bien. Il est dans son rôle de chaouch obséquieux. En attendant, au sein de l’opposition, les uns et les autres ricanent et hochent la tête face à cet énième «complot» fabriqué de toutes pièces. Tous les opposants et les autres Comoriens savent qu’il n’y a pas eu un attentat le jeudi 7 mars 2019, mais des mensonges.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 8 mars 2019.


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