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Le mendiant Saïd Larifou, roi des fautes de français

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Le mendiant Saïd Larifou, roi des fautes de français

L’avocat radié et surendetté à vie se déshabille encore

Par ARM

      Mais, comment fait Saïd Larifou, Président-directeur général de la Société comorienne des Terres stériles (SOCOCHAMBÉ) et grand trabendiste de visas Schengen, pour rester aussi navrant? Pour éponger sa dette de 2 millions d’euros auprès du Fisc français lui ayant valu la fermeture de son cabinet d’avocat et la saisie de sa maison à la Réunion, il a mangé à tous les râteliers. Maintenant, il ne lui reste plus qu’à servir à son maître de Mitsoudjé ses repas sur une natte et à lui présenter du papier-cul devant la porte de ses toilettes.

Or, pendant qu’il ment effrontément, crâne et insulte la glorieuse opposition comorienne, le PDG Saïd Larifou est en pleins délires et radotages. Et, il est resté dans ses sempiternelles fautes de français. Le journaliste Nakidine Hassane lui a envoyé par écrit un questionnaire, et là, le PDG de SOCOCHAMBÉ lui a retourné par écrit des réponses stupides, malsaines, indécentes et bourrées de fautes de français, dont voici quelques perles:

–          «Opportunité d’apporter ma contribution pour la réussite». Il aurait dû dire «à la réussite».

–          «Nous nous sommes toujours forcé». Il aurait dû écrire «efforcés».

–          «Nous nous sommes toujours forcé à». Il aurait dû écrire «Nous nous sommes toujours efforcés de».

–          «Les intérêts des comores». Il aurait dû écrire «Comores», avec «C» majuscule. C’est tout de même le nom d’un État!

–          «Se drapper». «Draper» avec un seul «p» aurait été mieux indiqué.

–          «Cette partie de l’opposition se livre à des sorties violentes pour tenter de dissimuler l’échec de leur politique». Comme il s’agit de l’opposition, un nom au singulier, il aurait dû écrire «sa politique». Qu’on le lui dise!

–          «Il convient de rappeller». Il aurait dû écrire «rappeler» avec un seul «l».

–          «Il ne faut jamais désespéré». Il aurait dû écrire «désespérer».

–          «À des fins personnels». Le PDG de SOCOCHAMBÉ aurait dû écrire «fins personnelles» parce que le mot «fins» est au féminin pluriel. As-tu compris, Monsieur le donneur des leçons?

–          La phrase suivante «je prends note avec plaisir que certains membres de l’opposition qui aujourd’hui donnent des leçons de probité et de démocratie et qui rappellent les leçons apprises récemment selon lesquelles l’argent public ne doit pas être détourné et utilisé à des fins personnels» est incomplète. On s’attendait à ce qu’il dise ce que disent ou font ces «membres de l’opposition», mais là, il ne signale rien. Mesdames et Messieurs, relisez la phrase, et vous constaterez que le PDG de SOCOCHAMBÉ aurait dû se casser une jambe au lieu de débiter ces fadaises.

–          «Il convient de rappeller». Monsieur le PDG, combien de fois-il faudra-t-il te répéter qu’on écrit «rappeler» avec un seul «l» et non avec deux «l»? Allez! Tu es puni. Tu vas aller dans le coin et écrire «rappeler» avec un seul «l» trente fois, te laver les mains, te brosser les dents avant d’aller au lit. Allez, ouste, sale cancre!

–          «Passé recent». Il aurait dû écrire «récent» avec un «é» ayant l’accent aigu.

–          «Aux comores». Monsieur le PDG de SOCOCHAMBÉ, pourquoi t’acharnes-tu à écrire Comores avec un «c» minuscule? Tu méprises les Comores au point de renier à ce pays son droit à un «C» majuscule?

–          «President de l’union des comores». Celui qui se prenait pour l’Abbé Pierre aurait dû écrire «Président de l’Union des Comores».

–          «La situation socio économique». Il aurait dû écrire «La situation socioéconomique».

–          «Lui même». Le PDG de SOCOCHAMBÉ aurait dû écrire «luimême».

–          «Appelle à etre». Il aurait dû écrire «être», avec l’accent circonflexe. Qu’on se le dise!

–          «Un pays dévastée». Monsieur le PDG de SOCOCHAMBÉ, dans la mesure où le mot «pays» est au masculin, tu aurais dû écrire «un pays dévasté».

–          «Quelque fois». Il aurait dû écrire «quelquefois».

–          «Pour les comores». Cette obsession à écrire les Comores avec un «c» minuscule tourne à l’acharnement haineux.

–          «De niveau internationales». Holà! Le mot «niveau» étant au masculin singulier, il aurait dû écrire «niveau international».

–          «Le meilleur d’eux même». Allons bon! Il aurait dû écrire «d’euxmêmes».

Le fond des propos de ce nullissime sans honneur, ni dignité ne vaut même pas la peine d’être souligné. C’est de la mendicité à l’état pur, de la part d’un garçon qui n’a même pas été capable d’obtenir son Baccalauréat et qui parle de «développement» et d’«émergence» alors qu’il n’a aucune notion d’Économie. En quelle langue extraterrestre présentait-il ses documents professionnels quand il était avocat à la Réunion, avant d’être radié à vie.

Comment un mendiant nullissime qui n’a pas été capable de sauver sa maison et son cabinet d’avocat à la Réunion peut sauver un pays, insulter les opposants et donner des leçons aux Comoriens? Tout est dans le parcours minable et dans la personnalité pitoyable de ce cancre dévoyé. Qu’il prépare d’abord son Baccalauréat d’abord et qu’il apprenne la langue française. Comment un type aussi nullissime croyait hier pouvoir diriger un cabinet d’avocat, et aujourd’hui les Comores?

En dehors de l’argent qu’il a volé aux Comoriens lors des «Asseyez-vous et taisez-vous!» de la honte, de la haine et du mépris, il n’a rien à espérer.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 19 février 2018.


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One Comment

  • Marandrazi

    février 23, 2018 at 7:21

    Bonjour cher ARM,

    Je crois avoir déjà indiqué dans un de mes commentaires qu’il est inutile de se dénigrer entre nous. On peut s’opposer et critiquer, voire mépriser certains comportements de nos hommes politiques, mais le dénigrement scolaire est pour moi ridicule. Il n’y a que les africains qui croient que ce sont les diplômes qui font les grands hommes, alors qu’on sait très bien qu’il en ait rien. On peut avoir des diplômes et être inutile socialement. Le diplôme n’a jamais été une garantie d’intelligence et d’utilité sociale. Il peut, en effet, aider à devenir intelligent et à réussir dans la vie. Et puis en plus qu’est-ce qu’un baccalauréat par rapport à un DESS. Je continue à penser que cette façon de procéder dans le débat politique discrédit totalement tes contributions intellectuelles. Dans aucun pays civilisé, on n’utilise jamais le niveau scolaire des uns et des autres pour valoriser ou dénigrer un débat public. Il n’y a qu’en Afrique francophone, par complexe d’infériorité, qu’on évoque des diplômes pour espérer pouvoir se valoriser. Ailleurs, le diplôme est tout simplement considéré comme un moyen d’insertion sociale. Le diplôme n’a d’utilité que s’il permet d’accéder à cette insertion sociale et à contribuer à éduquer et éclairer l’humanité, ou l’opinion si vous préférez. Essayons de nous respecter dans le débat public car c’est la seule condition d’être audible et d’être nous mêmes respectés par les autres.

    Fraternellement.
    ————————
    Bonjour, frère,
    On peut dire beaucoup de choses sur les diplômes, mais je ne vois pas comment un homme du niveau lamentable de Saïd Larifou s’arroge le droit de donner des leçons aux Comoriens, de s’ériger en Docteur en Economie d’«émergence à l’horizon 2030», et d’accuser les Mohéliens de terrorisme moins de quelques secondes après la découverte de clous sur un aéroport pour cabris. Moi, je ne mets jamais mes diplômes en avant, je ne me considère pas comme supérieur à quelqu’un, mais je trouve qu’il ne faut pas accepter le charlatanisme du larbin sans honneur Saïd Larifou. C’est la deuxième fois que je corrige ses fautes, et chaque fois qu’il en commettra, je vais lui faire un petit cours de français.
    Salutations fraternelles,
    ARM

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