Siti Kassim et Abiamri Mahmoud rejouent le match-2016
Elle doit forcément rembourser les dettes de son fils Fahad
Par ARM
Le dimanche 24 avril 2016, dans l’attente de notre avion vers les Comores, le Docteur Abdou Ousseine, Président de l’Assemblée de l’Union des Comores, et le Docteur Abdoulkarim Mohamed, ministre des Relations extérieures, étions au salon VIP de l’Aéroport international de Nairobi, Kenya. Le Docteur Abdou Ousseine était très en colère contre la ministre Siti Kassim et Abiamri Mahmoud, ex-Directeur général de Comores Télécom, tous deux originaires de Mbatsé, Mohéli. Il les accusait de pourrir gravement l’élection du chef de l’État en cours par leurs querelles de Collège et Lycée. Le Docteur Abdou Ousseine était tellement en colère qu’à un moment donné, il criait. Une hôtesse du salon VIP était intervenue pour lui demander de se calmer. Eh bien, le match ayant commencé en 2016 entre Abiamri Mahmoud et Mme Siti Kassim a repris entre Nice et Mbatsé. Cette fois-ci, à Mbatsé, l’ancienne ministre est accusée de faire des gris-gris contre le fils d’Ambiamri Mahmoud. Quand on évoque le sujet en sa présence, elle sort sa sempiternelle arme fatale: «Je vais faire du Hitma», c’est-à-dire une lecture du Coran pour demander la mort de quelqu’un.
L’heure est grave pour Mme Siti Kassim parce que les choses ne tournent pas rond pour elle. Pendant que son fils Fahad lui crée les pires ennuis avec des dettes à droite et à gauche, les fils d’Abiambri Mahmoud mènent une existence ordonnée, paisible et sereine. Maman doit payer les interminables dettes du fils prénommé Fahad, un épidémiologiste formé à Cuba et qui aime beaucoup l’argent, en souvenir de l’époque «bénie» où sa maman, inamovible ministre, le faisait voyager en première classe. Son passage au Bénin comme consultant international a été une hécatombe à cause de ses innombrables dettes. Ce ne sont pas des pratiques qu’il faut prendre au premier degré. Il faut creuser un peu. Encore un peu. Et un peu encore. Partout où passe Monsieur Fils, les dettes s’accumulent, et chaque fois, maman doit les rembourser. Comme elle a épuisé tous les moyens et séché la plupart de ses économies, elle a eu une idée: «Gratter» sur le commerce de Mme Siti Mra-Ati Aboubacar, en demandant à son mari de fabriquer des faux documents faisant d’elle l’associée de cette dernière.
Dans cette lugubre affaire, Lahadji Ahamada, le mari de Mme Siti Kassim, est celui qui a signé les faux papiers, aussi bien pour sa fille Thania Lahadji que pour Mme Siti Mra-Ati Aboubacar, comme si ces deux femmes étaient des analphabètes incapables de signer elles-mêmes. Ce site ne parlera plus jamais de cette affaire et présentera des excuses à la famille Lahadji Ahamada et Siti Kassim le jour où elle produira une délégation de signature ou une procuration autorisant Lahadji Ahamada de signer à la place de Mme Siti Mra-Ati Aboubacar.
En attendant, ce jour, il faudra que Lahadji Ahamada explique aux Mohéliens et aux autres Comoriens comment il peut avoir déclaré devant le Greffier Ouardi Ali Soumaïla qu’il a établi les prétendus «Statuts» de la fausse «association» entre Mme Siti Mra-Ati Aboubacar et Mme Siti Kassim en 2011, tout en datant le document en question en… 2013. Il prétend également que le Greffier Ouardi Ali Soumaïla l’a encouragé dans sa démarche consistant à pervertir les dates. Il n’a même pas peur que le Greffier Ouardi Ali Soumaïla pourra le poursuivre en Justice pour une accusation aussi lourde.
L’affaire est très grave parce qu’il s’agit de faux et usage de faux en écriture dans le but de s’approprier le bien d’autrui. Il y a même de l’escroquerie dans cette triste affaire. Le dossier déplaît d’autant plus aux Mohéliens que mon ami fraternel et protégé suprême, le Procureur Adfaon Ahamada Bacar, qui défend ouvertement les intérêts de Siti Kassim, a déjà le nom de la personne qu’il va arrêter pour l’avoir photographié dans sa voiture lors de son fameux conclave de 40 minutes du samedi 18 juillet avec ses amis et protégés Siti Kassim et Lahadji Ahamada. Veut-il instaurer sa propre dictature par la Justice à Mohéli? Mon ami et protégé Adfaon Ahamada Bacar doit le dire aux Comoriens. Il est mon ami et mon protégé.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 19 juillet 2020.
