Nourdine Abodo protège Saïd Ahmed Saïd Abdillah
Le mercenaire et le putschiste raté ont marié leurs enfants
Par ARM
Décidément, le mariage de prospérité, joliment et admirablement explicité par le sociologue marocain Ali Benhaddou, est promis à une riche actualité aux Comores. Comme on sait, la Farouata et la dictatrice Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», ont décidé de marier leurs enfants entre eux. Elles croient que ces mariages maudits au sein de l’usurpation de la mort vont les sauver d’une imminente mort violente, et leur permettre de rester au pouvoir ad vitam æternam. Eh bien, cette perversion honteuse est déjà expérimentée par le faussaire Saïd Ahmed Saïd Abdillah (son «Doctorat en Médecine» fait jaser) et l’abject mercenaire Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam du temps des Mohéliens de Bête-Salam, et le Vénérable Aîné par l’arsouille Saïd Ahmed Saïd Ali, dont l’incarnation avait été assurée par l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a rédigé Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini.
Le putschiste en herbe Saïd Ahmed Saïd Abdillah, en mariant son fils à la fille de l’hyène Nourdine Abodo, se met à l’abri de la vengeance mortelle du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», qu’il voulait renverser et tuer par l’effet de ses seuls mensonges, crapuleries et poils pubiens. Désormais, chaque fois que le nom du parrain du prétendu Parti Comores Alternatives (PCA, une coquille vide) est prononcé à Bête-Salam, le chacal Nourdine Abodo, qui ne veut pas que son gendre soit orphelin, pisse sur lui et dit: «Je m’en porte garant. Je concède qu’il est un peu voyou sur les bords, un grand menteur, un affabulateur capable de dire qu’il est connu au plus haut sommet de l’État iranien, malgache et tanzanien, mais c’est juste un vantard inoffensif. Il est malhonnête, certes, mais il ne faut pas en faire un drame».
En tout état de cause, votre site préféré est prêt à l’affronter devant un juge pour étaler au grand jour son plan de renversement et d’assassinat du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Au Tribunal, il lui faudra une prouesse venant à la fois de l’au-delà et de la galaxie la plus éloignée du système solaire pour expliquer l’origine absolument frauduleuse de son «Doctorat en Médecine» imaginaire. Ceci est d’autant plus vrai que parmi les arguments qui seront employés contre lui, il y a celui relatif à ce diplôme imaginaire, l’essentiel étant de prouver qu’il est entièrement fourbe et malhonnête. En «mélangeant son sang» avec celui du gangster Nourdine Abodo, il a fait le meilleur des investissements à court terme. Il s’attendait d’ailleurs à ce que cette bête sauvage obtienne pour lui l’acceptation de sa candidature à la députation par le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, et la chose n’a pas été acceptée. Comme on dit à Mohéli, «dans les festivités de la merde, c’est l’urine qui danse». Qui se ressemble s’assemble.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 26 octobre 2019.
