Sambi toise Azali et Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan
Les passeports d’Azali et Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan
Par ARM
Le nouveau sommet du crime et de la honte a eu lieu. Il a réuni 2 trafiquants mondiaux de passeports: le dictateur Assoumani Azali Boinaheri et le mafieux international et criminel universel Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan, présenté abusivement et fallacieusement comme le Président-fondateur du Conseil global pour la Tolérance et la Paix (CGTP). S’il-vous-plaît, il s’agit de quelle «Tolérance» et de quelle «Paix»? Le «Docteur» Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan est un fieffé menteur. C’est un menteur doublé d’un inhumain sadique et indifférent qui est aux Comores pour la continuation du trafic des passeports comoriens pour son pays, les Émirats Arabes Unis. Pour son déplacement actuel, il conduit une hideuse délégation et ment pour cacher les vrais motifs du voyage: les passeports, les passeports, les passeports.
Le voilà lancé dans des divagations sans tête, et des délires sans queue, mentant honteusement sur un prétendu «accompagnement de projets au profit des jeunes Comoriens, un des programmes prioritaires du gouvernement comorien». Quels sont ces «projets»? Peut-il expliquer aux masses populaires depuis quand l’«accompagnement de projets au profit des jeunes Comoriens» constitue «un des programmes prioritaires du gouvernement comorien»?
Le «Docteur» Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan n’est pas humain. Il n’est pas humain. Il sait que c’est grâce au Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi que la dictature de son pays «offre» des documents administratifs à ses propres apatrides, des apatrides qu’il a lui-même fabriqués par son archaïsme médiéval. Il sait parfaitement que le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi n’est en rien impliqué dans un détournement de l’argent de «la citoyenneté économique», encore moins pour des montants représentant 1 tonne de billets de 100 dollars des États-Unis, dont on n’a jamais retrouvé la traçabilité physique, le virement ou le chèque. Comment peut-on accuser quelqu’un de détenir de sommes aussi faramineuses sans en apporter la preuve? Dépouillé de toute forme d’humanité, de moralité et de conscience, le «Docteur» Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan ne se pose pas ce genre de questions. Il ne veut que les passeports pour son pays, et se moque de l’emprisonnement anticonstitutionnel, illégal et inhumain du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il est mauvais, très mauvais.
Pour tromper les Comoriens, il crâne en ces termes: «Nous allons construire un centre de formation des métiers pour les jeunes». Des mots! Oui, des mots. Il a toujours beaucoup de mots et de maux, mais rien de concret. Ce bandit, ignorant complètement les réalités des Comores, et méprisant les Comoriens, parle aussi du fameux «monologue des sourds» et parie sur sa «bonne réussite». Mais, pourquoi ne va-t-il pas organiser un «monologue des sourds» dans son propre pays? De quel droit se mêle-t-il des affaires nationales des Comoriens?
Mesdames, Messieurs, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi est dans la non-vie depuis le 19 mai 2018. Il est privé de tous ses droits. Son statut d’être humain lui est refusé. On l’accuse d’avoir détourné de l’argent de «la citoyenneté économique», et ses accusateurs pèchent par leur incapacité à citer un montant précis du «détournement» inexistant et à en faire la preuve. Le «Docteur» Ahmed Bin Mohamed Al Jarwan, qui était intervenu personnellement auprès de lui pour la mise en place de «la citoyenneté économique», et son pays le savent innocent, mais le laissent mourir dans un isolement total, continuant la vente des passeports comoriens avec les gens qui broient anticonstitutionnellement, illégalement, inhumainement et ignominieusement sa vie et de son destin. Dieu voit tout, Dieu sait tout…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 29 janvier 2022.
One Comment
Ali Madi
janvier 31, 2022 at 12:24Cher frère ARM, je ne suis pas un politique et encore moins un spécialiste de la chose. Seulement je me pose de question sur l’histoire récente de notre pays. Il me semble qu’en 2016 Azali a fini par gagner la présidence grâce au soutien de Sambi. En 2017 Azali s’est séparé de Doha et de Taheran suite à la rupture des relations de Riyade avec son frère ennemi ( Iran ) et celui qui pour des raisons d’énergies conjointes ( Qatar ), le gaz, ne pouvait prendre partie contre Taheran. Ensuite, Azali n’ayant pas supporté le désaccord de Sambi sur la manière et le fond relatifs à l’expulsion des diplomates Iraniens et Qataris, injonction de MBS, sur le champ il a demandé aux ministres de son gouvernement issue du parti de Sambi de prendre la porte. En 2018, Sambi rentre aux Comores et s’est fait arrêter sur des raisons fallacieuses et sur ordre d’un administrateur, vassalisé, du ministère de l’intérieur. Deux mois plutard le régime schizophrène ait fabriqué d’autres stupides motifs pour séquestrer indéfiniment Sambi. Il y a quelques semaines les Com mores, sous le petit Bokassa, viennent de légiférer sur une détention provisoire illimitée dont la seule victime serait Sambi et par une rétroactivité de la loi. Une première. Ma question: Azali ne serait-il pas un préfet de Paris et le bras armée de MBS aux comores contre son maintien au pouvoir? Il me plairait de disposer d’une analyse profonde et Claire sur le sujet. Pour le reste le silence assourdissant et les solutions adolescentes de nos politiques habituelles m’interrogent. A force de rouler avec le frein à main dans le but de bénéficier d’un minimum de liberté, ils courent le risque de se priver de toute la liberté et de s’octroyer le déshonneur.