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Saïd Larifou, petite bécasse d’opposition de connivence

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Saïd Larifou, petite bécasse d’opposition de connivence

Employé d’Assoumani Azali, il y entraîne sa Bandes de 4

Par ARM

       Les Comoriens accusent certains «opposants» d’être faux-culs au service du tyran fou et sanguinaire Assoumani Azali Boinaheri. On connaît les traîtres et les patriotes. La liste est d’autant plus longue qu’on ne compte plus les traîtres, mais les vrais patriotes. Or, les traîtres sont des travailleuses de sexe qui ne veulent plus être tutoyées dans les Commissariats de Police, et disent: «Je suis une travailleuse du sexe, et je suis vierge, enfin, presque… vierge».

La dénonciation des divisions stériles au sein de l’opposition et de «l’opposition» le jeudi 3 septembre 2020 a valu à votre site moult damnations, malédictions, condamnations et cris de haine des faux opposants, des bien-pensants et des chantres de la bien-pensance. Certains opposants ont juré de ne plus avoir des relations avec votre site préféré. Or, les Ayatollahs lançant des Fatwas et des anathèmes doivent dire pourquoi personne ne se demande: «Est-ce qu’ARM est un espion du tueur Assoumani Azali Boinaheri?», «Est-ce que Soilih Mohamed Soilihi, le Docteur Zilé Soilihi et Saïd Antoisse Ben Bereda travaillent pour la dictature?», «Est-ce qu’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et Mohamed Ali Soilihi pactisent avec la dictature?». On ne pose pas ces questions car ces personnes ne trahissent pas la cause.

Mais, dès que le nom de Saïd Larifou est prononcé, les personnes présentes sont gênées car il a refusé de signer le Pacte républicain, sabote toutes les actions de la vraie opposition, et ne pense qu’à lui-même. Il se dit le produit de l’enseignement français mais refuse ce que la France enseigne à ses élèves et à ses étudiants. Parmi les enseignements de l’École française, nous retrouvons la règle de la majorité, fondement de la démocratie. Saïd Larifou rejette les valeurs de l’École française, mais aussi celle de l’Islam. À un moment donné, on le disait un Témoin de Jéhovah, et c’est son droit constitutionnel d’être même l’adepte de Satan.

Il est contre l’Islam. Il essuie ses bottes sur l’Ijma. Or, en Islam, l’Ijma «est fondé sur le hadith: “Ma Communauté ne s’accordera jamais sur une erreur”. L’Ijma est un consensus, exprimé ou tacite, sur une question juridique. C’est, avec le Coran, les hadiths et la Sunnah, une des bases qui donnent sa légitimité au Droit. L’Ijma est avant tout le consensus des autorités religieuses (Ulama); mais un consensus populaire peut aussi bien jouer le même rôle. Un Ijma parfait est possible, mais est difficile à atteindre du fait des divergences entre points de vue religieux et de l’absence d’une autorité reconnue par toutes les parties. Cela ne signifie donc pas qu’il n’existe pas de point de vue dissident mais qu’un accord existe au sein d’une majorité plus ou moins importante. […]. L’Ijma correspond au principe de Vox Populi, Vox Dei (“Voix du peuple, voix de Dieu”)»: Cyril Glassé: Dictionnaire encyclopédique de l’Islam, Préface de Jacques Berque, Bordas, Paris, 1991, pp. 179-180.

Saïd Larifou rejette à la fois l’Islam et l’École française. Il a choisi la dictature de son chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Il rejette le Pacte républicain parce que celui-ci favorise l’État de Droit, la bonne gouvernance et l’unité des Comores. Sa haine et son mépris envers Mohéli et Anjouan sont sa vie. Sa Bande des 4 (les Grands-Comoriens Saïd Larifou, Ali Mhadji, Tocha Djohar Abdallah et Kamal Abdallah Salim) se situe également hors de l’Islam et du peuple des Comores. Les patriotes doivent refuser une éventuelle tentative de signature de rachat du Pacte par la Bande des 4. C’est trop tard. Pas de signature de rachat, forcée et au rabais. Saïd Larifou est mauvais et ne vaut rien. Sa Bande des 4 n’est pas prête de changer. Elle ne veut pas signer le Pacte mais a besoin d’endormir les uns et les autres pour espérer une mobilisation pour sa fantomatique «Révolution Ylang-ylang», une coquille vide chimérique de Kamal Abdallah Salim datant de 3 siècles. Quelle connerie! L’objectif de la Bande des 4 est un pseudo-leadership à tout prix, y compris avec une proclamation bidon de panafricanisme de premier plan également bidon. On ne peut pas respecter la Bande des 4.

Saïd Larifou est libre de faire ce que bon lui semble, mais personnellement, je ne serai jamais vu là où il aura posé les pieds. C’est moi que des Comoriens appellent pour demander des armes et des soldats pour libérer leur pays et non lui. Qu’on le lui dise, et qu’il le sache!

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Vendredi 4 septembre 2020.


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