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Saïd Larifou, un agent de la Russie contre la France

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Saïd Larifou, un agent de la Russie contre la France

Une Ivoirienne en fait un «panafricaniste» de pacotille

Par ARM

       Le fait n’est pas nouveau: la plupart des Africains d’un certain niveau qui échouent en politique dans leurs propres pays d’origine devenaient africanistes, tiers-mondistes, «anti-impérialistes et anticolonialistes». D’autres se transformaient même en «internationalistes». Amilcar Cabral qualifiait Alger de «La Mecque des Révolutionnaires», où échouaient plusieurs plaisantins africains. La chose a beaucoup évolué, mais cette réalité perdure. Pour preuve, Saïd Larifou, qui a entièrement échoué en politique aux Comores et ailleurs, vient de se découvrir une âme d’«africaniste», et cela, sous l’influence d’une Ivoirienne interdite de séjour dans son propre pays. Cet «africanisme» à la sauce tomate est financé par la Russie, qui veut tenter de faire reculer la France en Afrique, et se sert de certains aigris et frustrés aimant l’argent comme Saïd Larifou.

Saïd Larifou, le Comorien le plus choyé par la France depuis sa naissance, ayant échoué définitivement en politique comorienne, a accepté de devenir un des chantres de la propagande de la Russie contre la France dans les rangs de certains Africains, dont des exaltés. Je me suis rendu compte de l’ignorance totale de Saïd Larifou sur les douloureuses réalités sociopolitiques et ethniques africaines le jour où, quand il m’envoya la liste des victimes de la répression du dictateur Alpha Condé en Guinée Conakry, je lui signalais que toutes ces personnes tuées étaient des Peuls. Je constatais avec effroi que Saïd Larifou ne connaît pas les particularités ethniques des pays africains, ne peut pas classer certains noms emblématiques d’Afrique occidentale dans des cases ethniques. Dès lors, comment peut-il devenir «panafricaniste» s’il ne connaît pas l’Afrique? Son «panafricanisme» est une simple affaire d’argent. Saïd Larifou n’a jamais eu de convictions politiques et sociales au-delà de quelques minutes.

Pis, le «panafricanisme» de Saïd Larifou est un gnangnan destiné à lui apporter une impossible virginité politique aux Comores. L’homme RIDJA sacrifie la cause sacrée des Comoriens pour la démocratie, l’État de Droit, la bonne gouvernance et l’unité des Comores sur l’autel de son «panafricanisme» à la noix de coco. Il est tellement emporté par la vantardise d’être vu dans les manifestations «panafricanistes» parisiennes qu’il oublie que les pays africains peuvent être francophones, mais jamais russophones. Il aime être vu au Trocadéro, à Paris, dans les manifestations, mais oublie que cela ne changera rien à son échec en politique aux Comores.

Par moment, on se demande s’il ne serait pas humain de le prendre en pitié, en homme incapable de la moindre action politique positive.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 5 septembre 2020.


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