Saïd Ahmed Saïd Ali rejeté à Ntsoudjini par les siens
Il est détesté, méprisé et marginalisé dans sa propre ville
Par ARM
À Bête-Salam, devant son petit entourage, le shakespearien Saïd Ahmed Saïd Ali crâne et ergote. Il parade et cancane. Il radote et rêve. Il dit à cet entourage: «J’apporte sur un plateau d’or l’électorat de Ntsoudjini à notre imam Azali. Aucune voix de Ntsoudjini n’ira vers un opposant. Mouigni est avec nous mais doit donner le change au premier tour, avant de nous rejoindre au second tour. Notre accord en la matière est parfait. Quant à Salim Saadi, je préfère ne pas perdre mon temps avec un ensemble vide». Pourtant, le correspondant de votre site à Ntsoudjini tient un discours tout à fait différent: «Saïd Ahmed Saïd Ali refuse d’admettre qu’il est détesté et méprisé à Ntsoudjini. Quand il vient parler de son candidat, Azali Assoumani, à la population de Ntsoudjini, personne ne l’écoute. Les gens le fuient. On l’évite comme la peste, le choléra et le sida réunis en une seule maladie. Mouigni Baraka est mieux écouté que lui, mais Mouigni Baraka et Azali Assoumani sont indignes des bulletins de la population de Ntsoudjini et d’ailleurs».
Naturellement, Saïd Ahmed Saïd Ali n’a pas volé le discrédit et le rejet dont il est l’objet. Le pauvre chéri.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 25 février 2019.
