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Nos meilleurs vœux à tous et à toutes pour l’année 2018

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Nos meilleurs vœux à tous et à toutes pour l’année 2018

En 2018, l’Îlot des Chèvres à Mohéli aura sa Républiquette

Par ARM

      Chers lecteurs, chères lectrices,

Nous vous souhaitons une très bonne année 2018, en priant Dieu pour qu’elle s’accompagne de la réalisation de vos vœux les plus chers.

Vous êtes des centaines de personnes à nous faire confiance chaque jour. Merci. Votre fidélité nous pousse à nous maintenir dans la vérité. Cela n’est pas sans risques, mais, il est des risques qui sont honorables. C’est en prenant des risques que nous ferons un jour des îles Comores un pays qui pourra faire son entrée dans la catégorie des pays honorables, loin de la mendicité et de la génuflexion devant des puissances régionales aveuglées par des ambitions de roitelets et la vantardise de parvenus du désert sans le moindre intérêt pour le monde.

Nos lecteurs et lectrices sont des Comores, mais pas que des Comores. Nous les remercions et les rassurons sur notre refus de baisser la garde et la culotte devant la politique criminelle, malsaine et indécente pratiquée par une «Ripoux-blique» de Mitsoudjé qui fait penser au banditisme des Dalton, dont le rôle de Joe Dalton est incarné par le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», pendant qu’Ambari Darouèche, sa «légendaire et historique» première épouse, est dans le rôle qui lui va comme un gant, celui de Ma Dalton. Ambari Darouèche s’appelle désormais Ma Dalton, la mère des bandits Dalton.

Les Dalton ont réellement existé et étaient de redoutables bandits, qui finirent par être abattus en 1892, après deux années de méfaits. Exactement comme la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, les Dalton commettaient leurs terribles méfaits en compagnie d’autres bandits comme eux, mais qui n’appartenaient pas à leur famille. Les ruffians Saïd Larifou, Djaé Ahamada Chanfi, Oumara Mgomri, Mohamed Chatur Al Badaoui et consorts existent. Ces brigands vont tomber un jour, et ils tomberont ensemble, comme ils volent ensemble. Marie Mayobe, la Préférée de la République, Moinourou, la vieillissante épouse clandestine, et le fugitif international Hamada Madi Boléro seront associés à la chute, devenu inéluctable.

Chers lecteurs, chères lectrices, ce dimanche 31 décembre 2017, il s’est passé quelque chose d’absolument horrible et horrifiant. Le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, qui se cachait depuis qu’il a été banni de Mdé, où aucun habitant ne s’est déplacé pour aller écouter son discours infâme et impossible, s’est présenté devant les Comoriens, dans un décor de végétation, prétendument pour présenter ses meilleurs vœux à la population. Déjà, une question se pose: quelle est la signification de ces vœux du 31-Décembre quand, à cette date, il est interdit de célébrer la fin de l’année et le début de la nouvelle année aux Comores? Mais, la plus horrible des horreurs reste à venir: le contenu des vœux.

Toute honte bue, le dictateur atteint de la maladie d’Alzheimer en cours de développement et dont le traitement devient de plus en plus aléatoire ose affirmer: «Je voudrais vous renouveler ma gratitude pour la confiance que vous continuez à placer en moi et vous remercier de votre accompagnement et votre patience, malgré vos nombreuses attentes». Où a-t-il vu que les Comoriens lui font confiance, lui l’homme malade de Mitsoudjé? Où est «l’accompagnement» des Comoriens pour cet individu imbu de sa misérable personne? Où a-t-il vu de la «patience» chez les Comoriens, étranglés par l’estomac et au porte-monnaie? Vous l’aurez compris: le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri délire.

Le «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri est dans la posture du fidèle qui fait la prière et qui fait ses besoins sur son tapis de prières, quand il ose prétendre que «vous êtes encore nombreux, hommes et femmes, jeunes surtout, à être désespérés. C’est pourquoi nous devons renforcer notre détermination à faire de l’année 2018 une année d’espoir et de réalisations». Oui, les Comoriens sont «désespérés», mais 2018 ne sera pas pour eux «une année d’espoir et de réalisations» tant que cet individu sera à la tête de leur pays. D’ailleurs, rapidement, il s’est lancé dans ses divagations d’homme dont la structure mentale est détruite par la maladie: «Cela commencera par les assises nationales initiées par les acteurs de la société civile et le Mouvement du 11-Août. Ce sera l’occasion pour vous de prendre la parole, de vous exprimer et de vous faire entendre. Ces assises pour nous l’occasion de consolider l’unité nationale et de penser les Comores de demain. Plus que jamais, dans cette année à venir, nous devrons manifester notre envie et notre volonté de faire réussir notre pays. Mais aussi, montrer notre capacité à travailler ensemble à l’épanouissent de nos îles, dans leur diversité, leur complémentarité et leur solidarité. Ne laissons à personne le soin de décider à notre place, de notre sort et de notre destinée de peuple».

Quelle plaisanterie de mauvais goût! Oui, les assises de la haine et du mépris sont une invention criminelle du Mouvement du 11-Août, mais ledit Mouvement a quitté la barque dès qu’il sentit que la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé ne voit les assises que sous l’angle de la mise en place d’une présidence à vie, ad vitam æternam, à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive. Les assises de Mitsoudjé ne vont pas «consolider l’unité nationale» mais la tuer de manière à ce que «les Comores de demain» soient des Républiquettes sur des îlots et des atolls. L’Îlot des Chèvres (Chissioi Mbouzi) à Mohéli aura sa propre Républiquette. Avec les assises de Mitsoudjé, il est impossible de «réussir notre pays» et d’envisager «l’épanouissent de nos îles». Leur «diversité» va prévaloir, mais pas «leur complémentarité et leur solidarité». Et puis, on est en colère quand le tyran du Hambou ose marteler «ne laissons à personne le soin de décider à notre place, de notre sort et de notre destinée de peuple» alors que c’est lui et sa famille, à Mitsoudjé, qui décident pour tout un peuple.

On ne peut que maudire cet individu et demander la malédiction de Dieu sur lui quand il dit, s’agissant de ses assises familiales et claniques: «Ce sera l’occasion pour vous de prendre la parole, de vous exprimer et de vous faire entendre». Comment le faire quand le Comorien, dans son propre pays, est interdit de parole s’il n’ouvre pas sa bouche pour vanter les assises de Mitsoudjé et «l’émergence verbale et dansante»? Le jour où le mendiant Saïd Larifou sera dénoncé par un tribunal populaire et coutumier pour sa complicité avec un régime politique anticonstitutionnel, illégitime et ignoble, il sera seul comme d’habitude. Il mourra seul comme il est mort politiquement dans la solitude et le déshonneur. C’est un vaurien. Il ne vaut rien.

On prendra le temps de rigoler en apprenant que le roi de Mitsoudjé a dit: «Continuons à travailler pour l’émergence de notre pays et pour son rayonnement dans la région de l’océan Indien, en Afrique et dans le monde». Il doit répondre aux questions suivantes: il parle de quelle «émergence»? Pourquoi n’a-t-il jamais défini «l’émergence» mais en parle comme un perroquet? Qui est l’économiste qui, à ses côtés, peut lui parler des conditions d’une vraie émergence économique? Comment, les Comores, qui sont dans l’anus du monde, peuvent avoir un «rayonnement dans la région de l’océan Indien, en Afrique et dans le monde»? Sur quelle planète vit cet homme pour rester dans une ignorance aussi crasse?

Chers lecteurs, chères lectrices, nous vous renouvelons nos meilleurs vœux pour l’année 2018. Comme il ne faut pas être méchant, nous souhaitons une bonne santé à Ambari Darouèche dite Ma Dalton. Qu’elle guérisse de ses nombreuses maladies incurables, dont les plus terribles ont pour noms la rapacité, la voracité et la pyromanie face à la Direction des Impôts et au Trésor public pour cacher ses vols massifs d’argent public, des sommes d’argent qui seront placées dans son sarcophage d’épouse de Pharaon et enterrées avec elle dans une pyramide de la IIIème Dynastie à construire à Mitsoudjé. Elle ne m’a jamais fait peur.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 1er janvier 2018.


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