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Moustadroine Abdou, «victime» d’un attentat bidon

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Moustadroine Abdou, «victime» d’un attentat bidon

Après le Procureur Saïd Larifou, le vrai Procureur Bellou

Par ARM

     Les Comoriens sont très choqués. Ils sont d’autant plus choqués qu’ils viennent de se rendre compte que le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», les prend pour des gros bébés. En effet, maintenant, il est clairement établi que Moustadroine Abdou «Mafitsi» («Foutaises») n’était pas visé par un véritable attentat, mais par un attentat bidon, faux, monté de toutes pièces par la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé dans le seul but de se poser en victime, susciter de l’émotion et faire passer en douce la pilule empoisonnée d’un référendum anticonstitutionnel, bidon, maudit et décrié par tout le peuple comorien.

Deux éléments accréditent le plus sérieusement du monde la thèse de l’attentat bidon. Le premier est l’état de la voiture, en particulier celui du pneu de la voiture (Photo) de l’ivrogne national Moustadroine Abdou «Mafitsi». Aucune voiture au monde, y compris l’Aston Martin de James Bond, l’agent 007, ne peut rouler sur une longue distance avec une crevaison, et échapper à une moto. Sur le plan technique, c’est tout simplement impossible. Le deuxième élément provient de la grosse bourde commise par Bellou Magochi, qui vient de s’autoproclamer Procureur général et Procureur de la République. Maintenant, c’est l’avocat qui parle. Quand il y a commission d’un crime, notamment d’un attentat, c’est le Procureur ou le chef de la Police qui explique à la population ce qui se passe. Une telle mission n’est jamais dévolue à quelqu’un n’appartenant pas à l’appareil judiciaire. C’est tout. Cela, nous le voyons chaque jour à la télévision. Alors, que vient faire Bellou Magochi dans une enquête supposée?

Or, dans l’affaire de l’attentat bidon visant Moustadroine Abdou «Mafitsi», c’est Bellou Magochi qui se fait Procureur. Pis, il a même dépassé le stade d’un Procureur et est devenu un spécialiste en criminalistique. Pour faire simple, notons que la criminalistique (dont on nous parle lors de notre formation en Droit) est constituée de l’ensemble des techniques déployées par l’appareil judiciaire et les services de la Police et de la Gendarmerie pour l’établissement d’une preuve dans le cadre d’un délit ou d’un crime, naturellement, dans le but d’en identifier l’auteur. De ce fait, la criminalistique analyse les traces laissées par l’auteur de l’acte criminel ou litigieux. Autant dire donc que les applications de la criminalistique se réalisent à la fois dans l’administration de la preuve devant les tribunaux et dans le renseignement et la prévention des délits et crimes. Bellou Magochi a-t-il une expertise en la matière?

Exactement comme sa sœur Saïd Larifou, de Foumbouni comme lui, dans la fausse affaire des faux clous à Mohéli, Bellou Magochi est devenu Procureur général, Procureur de la République, policier et gendarme, se spécialisant dans la balistique (science relative aux projectiles). Il aurait déjà tous les éléments balistiques de l’enquête: l’arme utilisée serait une Kalachnikov (capable de tirer 600 balles par minutes et qui n’en tirerait que 3 contre le fils de Mafitsi), alors que sur le lieu supposé du crime supposé, on ne retrouve ni douilles, ni autre trace de projectile. Alors, d’où Bellou Mafitsi tient-il toutes ses «informations»?

Plus marrant encore, là où les services de police et de gendarmerie les plus sérieux du monde mettent des semaines à enquêter, Bellou Magochi ouvre sa gueule réfractaire à toute brosse à dents pour annoncer les résultats de «son» enquête, sans avoir bougé de Moroni. Quelle expertise! Quelle grandeur d’âme! En ouvrant constamment sa grande gueule, Bellou Magochi crée les pires problèmes à son «peureux-sident», le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Il ne sait pas parler, mais aime parler. Il est dans la même lancée que sa sœur Saïd Larifou quand il s’agit d’accuser les Mohéliens et les Anjouanais d’être des terroristes, mais tous les deux ont tort.

L’attentat visant Moustadroine Abdou «Mafitsi» était bidon, faux, archifaux, et quand on grattera un peu, on y trouvera la main criminelle du fugitif international Hamada Madi Boléro, le plus grand spécialiste en montages grossiers. Il n’y a donc pas eu d’attentat contre Moustadroine Abdou «Mafitsi», mais un simulacre d’attentat, qui n’est pas sans rappeler l’immense supercherie qui a eu lieu à «l’Aéroport» de Mohéli en février 2018. Pour autant, l’assassinat de tous les ennemis actuels du peuple comorien, ceux qui prospèrent grassement dans la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, relève de la légitime défense.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 23 juillet 2018.


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