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Mort-vivant, Assoumani Azali, sommé de mourir chez lui

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Mort-vivant, Assoumani Azali, sommé de mourir chez lui

Deux chutes gravissimes au Maroc, chutes en série aux Comores

Par ARM

     L’accueil qui a été réservé au mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Pakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», ce mercredi 19 décembre 2018, est une honte abjecte et méprisable. Ce cinéma avait pour but de montrer aux Comoriens et à la communauté internationale que le mort-vivant de Mitsoudjé est vivant. On a obligé les Comoriens à aller assister à Hahaya à cette horrible mise en scène, qui n’a pas été inutile puisque les gens ont vu arriver un mort-vivant au teint cireux, un mort qui marche et fait du cinéma. Les discours prononcés sont malsains et indignes. Pourquoi prononcer un discours?

Plus grave encore, au Maroc, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri était tombé même dans le centre où se tenait la conférence internationale sur les migrations, devant une belle brochette de personnalités marocaines et étrangères. Il était tombé à l’Aéroport de Marrakech. Le dictateur fou de Mitsoudjé était entièrement immobilisé au lit. Il fallait que sa famille soit présente parce que des décisions très graves s’imposaient. Les médecins ont clairement dit à cette famille de voleurs que son vaurien n’avait pas beaucoup de temps à vivre: «Il vaut mieux le ramener aux Comores le plus vite pour qu’il puisse mourir chez vous. S’il meurt ici, la chose sera difficile à gérer. En plus, ici, nous n’avons aucun remède efficace à lui proposer, mais des calmants qui vont soulager des douleurs, mais sans guérir le malade. Il est incurable. Personne ne peut le guérir. Il serait sage de le ramener le plus vite chez vous».

Pis, les langues se délient, et ce qu’on apprend n’est pas beau. En effet, les plus honnêtes des fonctionnaires de Bête-Salam disent qu’ils passent leur temps à ramasser par terre le mort-vivant de Mitsoudjé. Chaque jour, il fait des chutes devant le personnel. Même sa diction est porteuse des différentes maladies qui le tuent à petit feu. En d’autres termes, les Comores sont mises à feu et à sang par un mort-vivant incapable de la moindre action cohérente. Les bêtises qu’il débite chaque jour devant les Comoriens sont le résultat de ces maladies incurables.

Ce soir, ce proche de Bellou Magochi a contacté votre site pour délivrer un message: «Il ne faut pas se fier aux apparences. Les personnes qui étaient à l’Aéroport de Hahaya étaient vraiment contentes, mais uniquement parce qu’elles croyaient qu’elles allaient soulever le cercueil d’Azali Assoumani. Malheureusement, à Beït-Salam, il existe des malades mentaux qui insistent pour que nous organisions le plus vite des séances d’exhibition d’Azali Assoumani dans les villages comme s’il était un veau à deux têtes. Ce cinéma va lui être fatal. C’est au cours de ces fantaisies que le malheur suprême va lui arriver. La vantardise va le tuer pour de bon».

Sur la photo ci-dessus, on voit à gauche les mendiants du métro parisien que sont Msa Ali Djamal et son lascar Abdou Katibou portant leurs costumes de mauvaise et coupe et taillés dans la mauvaise étoffe, des costumes à deux sous achetés par terre à la station de métro Porte de Montreuil.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 19 décembre 2018.


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