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Assoumani Azali fait un nouveau «malaise vaginal»

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Assoumani Azali fait un nouveau «malaise vaginal»

Son clan accuse son médecin d’«incompétence vaginale»

Par ARM

     C’est donc, ça? Le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», rentre péniblement aux Comores le mercredi 19 décembre 2018 après un voyage de la mort effectué au Sénégal et au Maroc pour donner les illusions de quelqu’un qui «se porte bien». Et là, toute honte bue, son entourage défie Dieu en organisant des libations, joyeusetés, sauteries et autres gâteries à l’Aéroport de Hahaya. Le shakespearien Saïd Ahmed Saïd Ali s’est même transformé en paparazzo, filmant et photographiant à-tout-va son mort-vivant de chef. Le pauvre chéri! Les discours de glorification et de servilité obséquieuse ont été prononcés, et ce, pour dire que le plus grand exploit de l’humanité venait d’être accompli parce qu’un Comorien venait de rentrer aux Comores! Pas en Gagaouzie, Vanuatu, Tuvalu, Fagatogo et Montcocu, mais aux Comores! Quelle grandeur d’âme! Quel exploit légendaire et historique!

Et Abdou Katibou et le «bourdieusien» autoproclamé Msa Ali Djamal, portant leurs costumes de mauvaise coupe taillés dans la mauvaise étoffe, des friperies à deux sous achetées à la sortie du métro Porte de Montreuil, et faisant tout pour être vus à Hahaya! Les Comoriens ne le savaient pas si indignes, mesquins, mendiants et petits. Ils sont restés petits et complexés.

Seulement, une fois arrivé à Bête-Salam, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri a fait un nouveau «malaise vaginal». Le bougre est tombé et a même risqué de se casser les côtes, les reins et les clavicules. Refusant d’admettre que le dictateur fou de Mitsoudjé est victime de graves maladies incurables, dont certaines comme la folie, sont héréditaires, son entourage accuse ouvertement son médecin d’incompétence. C’est vraiment la fin des haricots.

Parlons vrai! Le sang du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri était déjà pourri avant que son médecin n’obtienne son Doctorat en Médecine. Aujourd’hui, ce malheureux médecin est poursuivi par la cabale d’un entourage nourri au biberon et au sein de «l’émergence à l’horizon 2030». Ces criminels voient leurs rêves de règne «à l’horizon 2030» fondre comme neige au printemps, et s’en prennent à un médecin dont la seule obligation est une obligation de moyens et non une obligation de résultats.

En d’autres termes, il n’est pas demandé au médecin de guérir, mais de tout faire pour guérir, en agissant en bon père de famille. Quand le médecin a fait ce qu’il fallait pour guérir son patient mais sans pouvoir le guérir, il n’a commis aucune faute.

Naturellement, cette accusation criminelle est bien dans le style accusateur de la «Ripoux-blique» accusatrice de Mitsoudjé, qui accuse tous les Comoriens de crimes, mais des crimes imaginaires…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 20 décembre 2018.


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