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Mohamed A. Mbéchezi boit le sang de Msa Ali Djamal

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Mohamed A. Mbéchezi boit le sang de Msa Ali Djamal

Saïd Ali Saïd Ahmed boit le sang de Mohamed A. Mbéchezi

Par ARM

     Faut-il plaindre Msa Ali Djamal? Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, on doit entrer dans les mosquées et faire des prières pour lui. Voilà un garçon qui était tranquillement installé en France et qui a fait des pieds et des mains pour être nommé Directeur de l’Office de Radiotélévision des Comores (ORTC). Il avait affronté les puissants lobbies de Moroni qui soutenaient Ahmed Ali Amir, qui convoitait le poste. Finalement, Ahmed Ali Amir a été nommé Directeur du journal gouvernemental Al-Watwan dit Al-Wawacelui qui pique ou démange»), d’où Ikililou Dhoinine l’avait chassé une semaine avant son départ de Beït-Salam. Le bon Msa Ali Djamal (Photo) avait commencé à boire du petit-lait dans son village de Chezani-Mboinkou, en croyant que tout baignait dans l’huile pour lui, quand il fut rappelé à la réalité par une autre mauvaise nouvelle: Mohamed Abdou Mbéchezi dit MAM, chef du Département de la Communication de Beït-Salam, veut être nommé Directeur de l’ORTC, en lieu et place de Msa Ali Djamal. La nouvelle finit par arriver aux oreilles très fines du brave Msa Ali Djamal. Ce dernier a vu rouge et a appelé à l’aide ses fidèles en France, sollicitant leur aide pour lutter contre cette nouvelle adversité. Certains lui ont carrément dit: «Va te faire foutre! Nous t’avons soutenu pour être nommé à la tête de l’ORTC, mais dès que ton décret de nomination a été signé, tu nous as oubliés». D’autres ont compati et ont décidé de continuer à soutenir l’ingrat de Chezani-Mboinkou.

     Il faut dire que quand il voulait se faire nommer, l’homme Msa Ali Djamal avait écrit des quantités d’articles dithyrambiques et panégyriques sur Internet pour vanter ses propres «mérites» et pour mettre en exergue sa fidélité envers le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani. Il faisait signer ses articles élogieux sur lui-même à ses copains. Aujourd’hui, il ne sait plus où poser ses pieds puisque ce sont les siens qui boivent son sang et qui attendent le moment où ils pourront aller danser sur sa tombe. Mohamed Abdou Mbéchezi se comporte en enfant gâté sur ce dossier, alors que son leadership au sein du Département de la Communication de Beït-Salam est remis en cause par Saïd Ali Saïd Ahmed, le Conseiller en Communication de l’usurpateur de Beït-Salam. L’une des raisons de cette inimitié réside dans la transformation du site officiel de la Présidence de l’Union des Comores en un gadget pour collégiens boutonneux, galeux, gommeux et aux oreilles décollées. Naturellement, voir ce site officiel de la République des Comores être réduit en simple page Facebook est un immense scandale. C’est le site officiel de la Présidence de l’Union des Comores et non un simple jouet entre les mains d’un garçon capricieux! La chose énerve Saïd Ali Saïd Ahmed, qui se répand en sarcasmes et en quolibets sur son collègue, qui dit agir au nom de «la modernisation».

     Cette guéguerre au sein de la communication de l’usurpation n’est que l’une des manifestations des conflits de personnes au sein d’une galaxie de «pouvoiristes» véreux et d’arrivistes nullissimes.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Mardi 4 octobre 2016.


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One Comment

  • MARANDRAZI

    octobre 6, 2016 at 3:35

    Bonjour ARM,

    Je crois qu’il est plus qu’inutile de faire le moindre commentaire sur ce régime. Jamais les Comores n’ont autant été humiliées dans sa représentation républicaine.

    Je veux bien accepter que la démocratie, même biaisée, est la représentation par la majorité. Mais quand ce système arrive à mettre en avant les plus médiocres d’une population, pourtant dotée d’une élite intellectuelle et administrative de qualité, il revient au peuple éduqué de prendre le dessus et chercher les moyens légitimes et pacifiques pour réhabiliter notre pays.

    Et je crois qu’à défaut d’abdication, le Président Azali doit impérativement appeler à un Gouvernement d’Union Nationale (GUN) et tendre la main à tous les enfants comoriens les plus vertueux afin de sauver ne serait ce que l’image de notre pays.
    ————
    Bonjour, frère,
    Il ne le fera jamais. Ce qui l’intéresse, c’est s’enrichir et placer les siens, y compris ces maîtresses.
    Cordialement,
    ARM

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