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Le fils d’Assoumani Azali fait un accident non mortel

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Le fils d’Assoumani Azali fait un accident non mortel

Le chauffeur du camion qu’il a heurté est déjà emprisonné

Par ARM

       «Pour une fois, mon copain Nour El Fatah, le fils de ton ami Azali Assoumani, a eu tellement de carburant pour le réservoir de sa voiture qu’il a fait un accident de circulation». Ce propos, volontairement sarcastique, corrosif et méprisant est celui d’un homme d’affaires étranger rencontré à Dubaï en juillet 2018. Il expliquait à votre serviteur, profondément dégoûté, comment Monsieur Fils, Nour El Fatah, le rejeton du satrape de Mitsoudjé, mendiait chaque jour auprès de lui du carburant pour sa voiture, et comment l’avocat du dictateur fou de Mitsoudjé lui disait doctement que, pour réaliser son projet d’aide aux Comores, sans un centime à rembourser par les Comores, l’homme d’affaires en question devait… payer de l’argent au mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger»! C’est dégoûtant! Le projet fut mort-né.

La coïncidence est troublante. Ce samedi 14 décembre 2019, un Comorien désignait la famille dictatoriale de Mitsoudjé par le titre: «La famille la plus dangereuse aux Comores». On y retrouve notamment les photos des deux fils de la famille dictatoriale, mais aussi celle d’Ambari Darouèche, la première épouse du tyran fou et sadique, surnommée Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger». Elle ressemble à ce qu’elle est en réalité: une sorcière satanique, régulièrement parcourue par la folie. Suit le mot gentil suivant: «Prélèvement des organes, assassinats, tortures, massacres, emprisonnements, mensonges, hypocrisie, trahison, sorcellerie… La liste est longue, mais tôt ou tard, ils finiront par comprendre».

Quelques minutes plus tard, Nour El Fatah, le fils du couple dictatorial chargé des Investissements auprès de son père fou, mais en réalité faisant fuir tous les investisseurs par sa mendicité, notamment pour le carburant de sa voiture, faisait un accident, heurtant un camion. Il en sortit vivant. Or, sans la moindre enquête, le chauffeur du camion qu’il a heurté fut arrêté par la Gestapo de la dictature de Mitsoudjé, pendant que le fils du couple dictatorial rentrait calmement chez lui. Dans l’ancien Droit britannique, en application d’une règle non écrite mais sanctionnée par divers tribunaux, il était dit que «le Roi ne peut mal faire». Par extension, le «fils d’un dictateur ne peut mal faire». Il a toujours raison. Par conséquent, tout doit être fait pour que le coupable soit le chauffeur du camion.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 14 décembre 2019.


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