L’Union africaine au secours d’Azali, pas des Comores
Elle se moque des Comores, des Comoriens et de leur deuil
Par ARM
Quand l’ONU demanda, il y a quelques mois, à l’Union africaine de dépêcher au plus vite une délégation aux Comores pour sauver un peuple en danger de mort et de disparition, le machin panafricain de dictateurs et d’assassins de masses louvoya, préférant donner du temps au dictateur Assoumani Azali Boinaheri pour tenter la tenue de son prétendu «dialogue national», qui est en réalité un «monologue des sourds». On vit alors le fugitif international Hamada Madi Boléro se déshabiller en public en tentant de parler à des acteurs politiques à qui il a volé des élections au profit du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Ce fut tintin. Quand la délégation de l’Union africaine se présenta aux portes des Comores, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri nomma Mohamed Toihiri «Coordinateur du Dialogue inter-comorien». En «grattant» un peu, on découvre avec horreur que Mohamed Toihiri est une également un mauvais garçon qui n’a aucune leçon d’éthique et de morale à faire au fugitif international Hamada Madi Boléro. Pauvre pays!
L’Union africaine sait tout du deuil dans lequel le dictateur Assoumani Azali Boinaheri et sa famille de voleurs et d’assassins ont plongé les Comores. Elle a lu les Rapports des missions africaines sur les élections qui n’ont pas eu lieu le 24 mars 2019. Pourtant, elle a toujours regardé ailleurs, pour que ses yeux ne soient pas salis par le triste spectacle d’un peuple plongé et nageant dans les malheurs et le deuil. Aujourd’hui, une certaine opposition s’agite en Grande-Comore en croyant que l’Union africaine, ce syndicat de dictateurs et d’assassins de masses, est une organisation sérieuse, sincère et crédible. Des dictateurs nilotiques ont même reçu des valises d’argent volé au peuple comorien pour soutenir le dictateur Assoumani Azali Boinaheri contre les Comoriens.
L’Union africaine, impitoyable organisation régionale discréditée et sans honneur, est aux Comores pour consolider le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, lui donner le visage d’un «dirigeant responsable et ouvert au dialogue», un dialogue que refuseraient de «mauvais et méchants opposants». Vous allez voir que ça sera sa conclusion à l’issue de sa mission scélérate et criminelle. Personnellement, je n’en attends rien. La Norvège et la Communauté Catholique Sant’Egidio sont plus efficaces parce que sincères et honorables. Quant à l’Union africaine, il faut être fou pour lui faire confiance, si l’on fait abstraction de son soutien au débarquement militaire à Anjouan le 25 mars 2008, après l’échec des fausses négociations du dictateur Assoumani Azali Boinaheri et de son fugitif international Hamada Madi Boléro, ces vils criminels.
Au moment où le Mozambique est à feu et à sang, pourquoi l’Union africaine n’y dépêche pas son Mozambicain de cœur et de connivence Francisco Madeira dans son propre pays pour y ramener la paix, mais a l’horrible et détestable habitude de l’envoyer en émissaire aux Comores pour tuer davantage ce pays? Qu’on l’explique aux Comoriens!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 16 septembre 2021.
