La «grossesse» d’Azali, quand le peuple meurt de faim
Le peuple souffre, le dictateur est de plus en plus gros et gras
Par ARM
La photo vient des entrailles des Lieux Saints de l’Islam et montre le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», «enceinte». Cette fois, le dictateur de Mitsoudjé ne peut pas cacher sa «grossesse» sous ses chemises multicolores et de mauvais goût provenant d’Afrique. Les choses se jouent dans la transparence parce que là-bas, sur les Lieux Saints de l’Islam, les chemises africaines bariolées ne sont pas admises. On s’affiche tel qu’on est. C’est ainsi que les Comoriens, horrifiés, dégoûtés et crachant par terre avant de lever les yeux et les mains au ciel, redécouvrent le dictateur qui les empêche de vivre encore plus ventru qu’une femme enceinte jusqu’aux yeux. Cela aurait pu être son problème si pendant qu’il devient de plus en plus gros et gras par insouciance et par déconnexion des réalités des Comores et du monde, le peuple comorien n’était pas plongé dans les pires privations, souffrances et misère noire. Les Comoriens n’ont rien à manger, ni à boire, vivent dans le noir, n’ont aucun service public, sont privés de tout, pendant que le chien enragé de Mitsoudjé grossit. Dur sera «l’accouchement»!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 29 avril 2022.
