Ibrahim Ali Mzimba, Nourdine Abodo et COFIPRI

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Ibrahim Ali Mzimba, Nourdine Abodo et COFIPRI

Bellou s’acharne contre eux, et évoque l’affaire Bolloré

Par ARM

     L’affaire Bolloré, déclenchée au Tribunal de Nanterre, en France, est une véritable patate chaude enfermée dans une poupée russe. Les affaires s’emboîtent au sujet de ce dossier brûlant et éminemment politique et diplomatique. Aux Comores, les deux personnes qui savent qu’elles ont beaucoup à se reprocher sur les activités de COFIPRI, la société chargée de la manutention au Port de Moroni (Moroni Terminal) pour le compte du Groupe Bolloré, font tout pour ne pas être repérées, se serrant les fesses, espérant laisser passer l’ouragan médiatique loin des Comores. Ces deux personnes se cachent et se font tout miel du côté de Bête-Salam pour éviter des ennuis judiciaires, qui ne viendront d’ailleurs jamais.

Même s’il essaie de sauver les apparences, Bellou Magochi déteste et méprise à la fois Ibrahim Ali Mzimba et l’ignominieux et infâme mercenaire Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam et le Vénérable Aîné par le vaurien Saïd Ahmed Saïd Ali, descendant direct de l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a rédigé Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini.

Chaque fois qu’il entend parler de l’affaire Bolloré, Bellou Magochi fournit un effort surhumain pour ne pas aller fusiller sans autre forme de procès Ibrahim Ali Mzimba et le mercenaire Nourdine Abodo. L’autre jour, alors qu’il sentait la moutarde lui monter au nez, il lança devant le carré de ses proches et fidèles: «Nous avons tous les malheurs du monde en ce moment, même si nous essayons de faire bonne figure. Si nous allons déclarer devant les Comoriens que l’affaire de Moroni Terminal a été lancée avant notre retour au pouvoir, le peuple y verrait une nouvelle manœuvre perfide pour accuser nos adversaires.

     Ibrahim Ali Mzimba et Nourdine Abodo sont les responsables de l’attribution frauduleuse du marché du Port de Moroni à COFIPRI, une affaire qui a été cédée immédiatement après au Groupe Bolloré. Ibrahim Ali Mzimba se sucre auprès de Moroni Terminal, donc de COFIPRI et partant du Groupe Bolloré. Il arrose très généreusement son complice Nourdine Abodo afin que celui-ci intercède en sa faveur auprès du Président, qui a de gros soucis en ce moment, compte tenu de la tension politique actuelle. Il faudra qu’Ibrahim Ali Mzimba et Nourdine Abodo nous laissent en paix en cette période infernale pour tout le monde».

La disgrâce d’Ibrahim Ali Mzimba a commencé le jour où à Bête-Salam, on se rendit compte qu’il fanfaronnait trop, qu’il répétait trop de secrets jugés sensibles au mouton noir des blogueurs comoriens, alors que devant ses maîtres de Bête-Salam, il injuriait, dénigrait et accusait le blogueur en question des pires vilénies. Double langage.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 5 mai 2018.


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