Humilié par Oman, Assoumani Azali ira en Saoudie
Les sambistes craignent que leur chef ne soit du voyage
Par ARM
L’esclave nègre Assoumani Azali Boinaheri n’a pas encore compris qu’il est un simple Ubu Roi nègre instrumentalisé par ses maîtres du Moyen-Orient, qui ne voient en lui qu’un simple Nègre. Comme il se croit intéressant, le petit diable l’a poussé à demander à se rendre au Sultanat d’Oman. Le méprisant au plus profond d’elles-mêmes, les autorités de ce pays lui ont opposé une fin de non-recevoir avant de lui demander d’aller manger des bananes pour singes ailleurs. En larmes chaudes, il a appelé ses maîtres d’Arabie Saoudite pour se plaindre du «comportement inamical» du Sultanat d’Oman. Pour ne pas perdre leur esclave, les autorités du Hedjaz et du Nedjd lui ont dit qu’il pourrait se rendre chez elles, en Saoudie, où l’attend déjà une mallette de dollars. Redoublant de pleurnicheries larmoyantes, le fraudeur électoral divin Assoumani Azali Boinaheri lança à ses maîtres de la dictature médiévale d’Arabie Saoudite un cri du cœur: «Merci, mais je demande un vol spécial, afin que ces goujats d’Oman se rendent compte que je suis important». Son vol spécial lui a été accordé, et il sera pour ce mardi 3 mars 2020. Ayant appris la chose, les sambistes historiques sont entrés dans les mosquées pour prier afin que leur leader Ahmed Abdallah Mohamed Sambi ne soit pas du voyage pour être livré à l’assassin international Mohamed Ben Salman, le spécialiste des poignards pour tuer et de l’acide pour faire disparaître les corps de ses victimes.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 1er mars 2020.
