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Humilié à mort à Paris, Azali Père, Fils enterrés à Moroni

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Humilié à mort à Paris, Azali Père, Fils enterrés à Moroni

Moroni humilie Monsieur Fils pour atteindre Monsieur Père

Par ARM

     Horreur des horreurs, la série noire d’humiliations continue pour le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit Bakapihi, «Le père qui ne prépare jamais à manger». Alors qu’il n’a pas encore digéré la grave humiliation subie le 14-Juillet à Paris, où il a été relégué à une place bassement subalterne sur le plan protocolaire, le dictateur de Mitsoudjé a reçu le coup de grâce le mercredi 20 juillet 2022 à Moroni, où les Moroniens lui ont sonné l’hallali. En effet, à cette date, il y avait un mariage à Badjanani, Moroni. Lors de la cérémonie de Madjliss, Monsieur Fils Nour El Fatah, fils du couple dictatorial de Mitsoudjé, a osé s’y présenter. Les Moroniens l’ont relégué à la place bassement subalterne qui avait été réservé à son père à Paris. Fakridine Mahamoud Mradabi, le prétendu «ministre de l’Intérieur, de l’Information, de la Décentralisation et de l’Administration Territoriale, Chargé des Relations avec les Institutions» (Ouf! Ouf!) et Abdoulfattah Saïd Mohamed, Directeur du Pèlerinage en Arabie, sont intervenus pour que Monsieur Fils soit installé à une place d’honneur. Ce fut tintin.

 

 

A la même place humiliante que Papa

Le dictateur Assoumani Azali et la dictatrice Ambari Darouèche: Ils ont légué au fils l’humiliation à Moroni

Les Moroniens ont refusé. Les deux lascars ont appelé à Paris le Commandant Saïd Ali, fils de Salim Dahalani, aide du camp du dictateur, pour supplier l’aristocratie de Moroni afin que Monsieur Fils soit installé à un endroit adapté à son statut de fils de dictateur et dictatrice. La réponse a été: «Ton père, Salim Dahalani, est triste là où il est en ce moment en entendant les tristes paroles qui sortent de ta bouche. Ici, nous sommes sur une place publique de Badjanani, réservée à une catégorie sociale bien déterminée, à laquelle n’appartient pas l’individu dont tu nous parles. De Paris, où tu es en ce moment, tu aurais dû nous appeler pour nous dire que tu allais renverser Assoumani Azali et prendre sa place, et non pour nous dire que nous devions honorer son fils. Alors, il va s’asseoir à la place humiliante qui a été celle de son père le 14 juillet 2022 à Paris et il est libre de s’en aller. Il n’est pas des nôtres et n’a pas sa place parmi nous».

Chose qui ne manque pas de piment, le frère Abdourahmane Mohamed Ben Ali, ancien Directeur de la Banque postale des Comores à Paris (dont l’agence a été fermée par le dictateur de Mitsoudjé, sans raison), affiche une tête d’enterrement quand le triste sire qu’est Monsieur Fils est venu s’asseoir à ses côtés.

© www.lemohelien.com – Jeudi 21 juillet 2022.

Reproduction internet.


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2 Comments

  • Imani MMADI

    juillet 23, 2022 at 6:22

    LE POUVOIR N’EST PAS UNE ABSTRACTION

    Le pouvoir politique est une incarnation d’une femme ou d’un homme.

    Ce dernier a le visage du dirigeant. car, autrefois la politique c’étaient des idées. Mais, aujourd’hui il a pris une autre tournure. Il s’agit de la figure de celui qui s’affirme.
    Or, si la politique c’étaient les idées, MELENCHON ou ROUSSEL aurait dirigé la France. Mais, ce qui manque chez eux, c’est le pouvoir charismatique.

    En effet, ce pouvoir n’est pas donné à tout le monde car, l’homme politique peut incarner le pouvoir sans avoir des idées bonnes.

    Il faut dire aux opposants comoriens que rien ne fera que sur le territoire comorien. Il est vrai que la diplomatie est une arme redoutable. ”On peut chanter de loin mais on ne danse pas bien que près de la chanson”.

    Nous avons constaté que depuis Abbas DJOUSSOUF, Ali MROUDJAE, Mohamed HASSANE Ali, TAKI, il n’y aura pas d’opposant crédible aux Comores. Sachez bien que le départ du colonel azali est conditionné de la paix aux Comores. Tant que le pays reste tel qu’il est azali restera au pouvoir. Il est temps donc d’empêcher l’arriver de son fils au pouvoir. Il faut noter que le colonel azali est entrain de modifier l’état major en propulsant ses pions. une fois donc, l’armée aux mains de son garçon, il sera très facile de céder la chaise à son grand fils.

    Il est urgent d’empêcher cela, sinon il sera trop tard.

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  • ETAT

    juillet 29, 2022 at 8:55

    AZALI ASSOUMANI réussira t-il à imposer son fils à la tête de l’archipel des Comores?

    Tous les faisceaux d’indices laissent présager que le colonel Azali ASSOUMANI est entrain de préparer le terrain afin de passer le flambeau à son fils aîné.

    Tout d’abord, il a commencé à mettre à la retraite anticipée certains officiers de l’AND. Il s’agit de purger les anciens militaires susceptibles de faire de l’ombre à Loukman. Cette stratégie consiste pour Azali de nommer des officiers supérieurs qui ne sont d’autres que des pions. C’est ainsi que depuis quatre ans, il n’a eu de cesse de donner des galons gratuits à des militaires qui ne les méritent pas.

    Azali sait donc que l’armée jouera un rôle primordial dans les trois ans à venir.
    Sachez bien que les militaires nommés cette année défendront corps et âmes le fils du colonel Azali ASSOUMANI. C’est le cas du lieutenant colonel Ismael Bakari, le lieutenant colonel Ramadhoine, le lieutenant colonel Kamal Mdohoma et le groupe de Loukman qui sont nommés chefs des bataillons. Toutes ces nominations sont destinées à verrouiller l’armée pour laisser la place au commandant loukman au sein de l’armée.

    En effet, la récupération du camp de kandani par Loukman et ses épigones ouvrira systématiquement la voie royale à Fathi le fils aîné du colonel ASSOUMANI Azali.

    Il faut noter que trois officiers supérieurs de la grande comore posent un problème à Mr Azali.

    Ces derniers sont la cible de Loukman et son groupe. lorsque ces officiers seront éliminés de l’armée, Loukman pourra régner facilement au sein de l’AND.

    Ce plan doit être mis en échec par l’opposition avant que le colonel idjihad soit écarté de son poste de chef d’état major. Car, malgré sa passivité et son désamour du pouvoir suprême, il n’accepterait pas l’arrivée de Loukman à la tête de l’AND. Lui, il pourrait ne pas user la violence pour réprimer le peuple.

    Il est donc temps pour les opposants d’aller danser tout près de la musique avant que le colonel azali change complètement le visage de l’armée.

    Il faut dire que les manifestations parisiennes ne changeront rien. Si vraiment, vous voulez le départ du colonel azali, il va falloir se rendre à Moroni car, aucune cuisson n’est possible si la marmite se situe à 12 milles kilomètres du feu. Aucun comorien ne comprendra jamais la stratégie des opposants comoriens qui se battent pour le départ d’Azali tout en étant loin de la cible. Vous, opposants comoriens, voulez vous la liberté et le bien être des comoriens? Il faut sortir les billets. car, toute liberté à un prix. Pourquoi, vous n’allez pas sur place comme l’époque de Mohamed hassane ali à mohéli, abbas djoussouf Moroni, Mouzaoir Abdallah, Ali Mroudjaé et les autres. ”On peut lutter de loin mais on ne combat pas bien que près”.

    Si cette fois ci, vous laissez azali imposer son fils au trône, personne ne vous prendra pas au sérieux.

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