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«Le vainqueur d’une bataille est celui qui s’est tu»

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«Le vainqueur d’une bataille est celui qui s’est tu»

Laissons donc Azali Assoumani et ses hommes vociférer

Par Aouladi Mliva Hassan

       Il y a un dicton comorien qui dit: «Achida nkodo daroua», «Le vainqueur d’une bataille est celui qui s’est tu». Ainsi, pour parler de la dictature du mort-vivant Azali Assoumani contre le peuple comorien, il est évident que le mort-vivant Azali Assoumani sortira vaincu car lui et ses hommes sont trop bavards et aux abois. Alors, peuple comorien, restons taiseux. Je dirais aussi que le mort vivant est en sursis jusqu’au 26 mai 2021. Après, il doit quitter Beït-Salam. En effet, au-delà de cette date, il est légitime de l’abattre par tous les moyens, pour l’amour de la nation.

Alors, peuple comorien, soyons tranquilles et laissons ce cadavre ambulant faire sa comédie. Il n’y a pas une pièce de théâtre sans fin. Il peut faire tout ce que bon lui semble, mais le rendez-vous populaire est pour le 26 mai 2021, qui s’approche et pour lequel il faut se préparer pour que, mort ou vif, il quitte Beït-Salam à cette date. C’est une évidence. Aujourd’hui, le mort-vivant joue avec la vie de ses prisonniers politiques, qu’il détient arbitrairement, notamment avec celle de l’ex-Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, gravement malade. Pour toute âme consciente et pourvue d’humanité et d’humanisme, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi nécessite des soins médicaux, comme l’exigent le Droit positif comorien et le Droit international.

Mais, le mort-vivant le lui refuse parce qu’il est celui qui doit décider de qui doit vivre et de qui doit mourir, parce qu’il a décidé qu’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi doit mourir dans sa résidence de Voidjou, devenue un camp de concentration. Le mort-vivant Azali Assoumani veut qu’éclate un génocide à la comorienne, entre Anjouanais et Grands-Comoriens, la seule voie pour le mort-vivant d’espérer une longévité politique dans des mandats illégitimes.

Alors, moi je demande à nos compatriotes, surtout d’Anjouan et de Ngazidja, de bien rester vigilants, de ne pas tomber dans les manigances de ce cadavre ambulant, de ce prétendu président. Le 26 mai 2021 approche et le peuple comorien, épris de liberté, du retour à l’État de Droit, n’a pas besoin de beaucoup crier. Le monde entier est conscient de la dérive dictatoriale du mort-vivant Azali Assoumani. C’est juste une question de temps, le temps que le 26 mai 2021 se présente, et nous verrons bien qu’une poule à un seul cul, d’où sortent l’œuf et ses matières fécales.

Le mort-vivant Azali Assoumani est conscient que sa folie de gouverner à mort est conditionnée par une volonté de créer un trouble social de guerre civile entre Anjouan et la Grande-Comore. Quant à Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et à Salami Abdou Salami, le Gouverneur légitime d’Anjouan, ils sont pour le mort-vivant des alibis pour justifier ses fins maléfiques, mais il sera toujours rattrapé par le temps.

Encore une fois, très chers patriotes d’Anjouan et de Ngazidja, restons calmes et bien avertis car la victoire sera toujours au peuple, comme cela avait été le cas après 11 ans de mercenariat sous Ahmed Abdallah et après d’autres pratiques politiques dangereuses sous d’autres régimes politiques.

Par Aouladi Mliva Hassan

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© www.lemohelien.com – Vendredi 16 août 2019.


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