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Azali a décidé: 10 ans de prison ferme pour Ahmed Sambi

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Azali a décidé: 10 ans de prison ferme pour Ahmed Sambi

Ahmed Sambi, innocent, est condamné avant d’avoir été jugé

Par ARM

     Le dictateur et «pouvoiriste» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe, dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a décidé que le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi doit aller en prison pour 10 ans. Dans quelques jours, la dictature de Mitsoudjé va annoncer avec fracas le procès kafkaïen et stalinien du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et quelques jours après, ce dernier sera livré à ses Ponce Pilate, chargés de juger et de condamner un innocent, uniquement parce qu’une tyrannie leur a demandé de le faire. Au cours d’une parodie de justice, il sera dit doctement qu’un innocent est coupable et qu’il va croupir en prison pendant 10 ans, 10 ans soustraites de sa vie, 10 ans de plus de non-vie. Aucune preuve ne sera présentée contre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, dans la mesure où il n’en existe point. Or, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi ne demande que la présentation d’éléments pouvant prouver qu’il a détourné un jour un centime de «la citoyenneté économique». Dans sa lettre du 16 mai 2020 au dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe, il a demandé à ce que la dictature de Mitsoudjé présente des preuves, mais 2 ans plus tard, il n’y a toujours rien. Rien! Rien du tout!

Mesdames et Messieurs, quand un juge accuse un justiciable d’avoir violé la Loi, ce n’est pas au prévenu de prouver son innocence, mais au Tribunal de prouver sa culpabilité, par de vraies preuves. Le Tribunal doit apporter des preuves de cette culpabilité. Alors, nous allons répéter ceci: le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi devra se rendre au Tribunal avec le contenu de la page 9 de la lettre précitée, en demandant à ce qu’on lui présente les preuves de sa culpabilité. C’est tout. De grâce, que l’Avocat du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi ne se présente pas à un faux Tribunal devant un magistrat aux ordres pour philosopher mais pour mettre le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe devant son propre mensonge, en lui demandant tout simplement de preuves: «Où sont les preuves?».

Nous allons également répéter ceci. L’affaire ELF portait sur un détournement de 504 millions de dollars des États-Unis, et avait été qualifiée de «plus gros scandale politico-financier et de détournements de fonds dans une démocratie occidentale depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale». Le procès ELF s’étala de 2002 à 2004. Ses protagonistes se rendaient au Tribunal de Paris traînant des valises à roulettes de dossiers. Maître Thierry Lévy n’avait qu’un dossier de 21 pages. Donc, pour ne pas embrouiller le peuple avec des détails, la défense du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi doit faire dans la tarte à la crème, en répétant: «Où sont les preuves, par une tonne de billets de 100 dollars des États-Unis, ou par virement ou par chèque?». C’est tout. Si l’Avocat Ahamada Mahamoud, qui n’a jamais brillé par son compétence, se rend au Tribunal pour s’éloigner de cette ligne de conduite et pour faire des effets de manche et de prétoire afin de se faire mousser, le peuple comorien le tiendra pour complice de la dictature de Mitsoudjé contre son client, un innocent. Attention!

Le monde arabe, au même titre que l’Afrique, est le plus grand bastion mondial des tyrans et des dictateurs les plus dégueulasses. Et alors qu’un innocent va être condamné de façon injuste, une délégation du prétendu Réseau arabe des Institutions des Droits de l’Homme s’est rendue aux Comores pour soutenir le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe contre l’innocent Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Ce Réseau créé par Satan a même eu l’indécence malsaine, indigne et impudente de se dire «satisfaite» de l’état des droits de l’Homme dans la dictature de Mitsoudjé, soutenue par les dictatures arabes.

Toute honte bue, Mme Sittou Raghadat Mohamed, «la seule femme des Comores, la femme qui aime exister» et inexistante Présidente de l’inexistante «Commission nationale des Droits de l’Homme et des Libertés» (CNDHL), tombée bien bas, très bas, faisait la belle, paradait et plastronnait, sans se dire une seule fois que les droits de l’Homme n’existent ni aux Comores, ni dans le monde arabe, et que ce sont les dictatures arabes du Moyen-Orient qui ont demandé au Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi d’instaurer la «citoyenneté économique» à leur profit, mais l’ont lâché lâchement pour faire affaire avec son persécuteur, tout en ignorant qu’en laissant ce dernier entre les mains d’un tyran fou et sanguinaire, non seulement elles font tuer un innocent, mais en plus, elles s’accusent de complicité d’une corruption qui n’a jamais eu lieu. Les dictatures arabes du Moyen-Orient sont dégueulasses et abjectes.

On aurait voulu que l’opposition de Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, dénonce la délégation arabe qui se moque des Comoriens pendant qu’ils pourrissent sous la dictature de Mitsoudjé, mais Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, ne prendra jamais le risque de froisser les complices de son chef, le tyran et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 22 mai 2022.


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