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De l’argent pour le retour de Mahmoud Salim Hafi

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De l’argent pour le retour de Mahmoud Salim Hafi

Ambari Darouèche pour l’assassinat de Djaffar Ahmed

Par ARM

     Une immense onde de choc a été causée par la révélation de la fuite internationale à Paris de Mahmoud Salim Hafi, ministre de la Jeunesse, des Sports, des Injures publiques et des Dérapages verbaux juvéniles. Complètement tué par la très belle déclaration patriotique du samedi 16 juin 2018 de Djaffar Ahmed Saïd Hassani condamnant ses lubies criminelles et anticonstitutionnelles, très affaibli par sa maladie incurable, le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a appelé son jeunot Mahmoud Salim Hafi et lui a fait une promesse s’il rentre à Moroni: 100 millions de francs comoriens (200.000 euros).

À l’heure actuelle, le «ministre lycéen» a décidé de rentrer pour aller récupérer sa valise d’argent. Cela étant, chaque fois que vous verrez ce jeune gommeux, sachez qu’il est un individu qui a vendu à Satan son âme, le peu de dignité qui lui reste, le peu de fierté qu’il y avait en lui, et le peu de conscience qui lui restait pour de l’argent, au lieu de défendre ses idées et principes, si tant est qu’il en a. Ce que Mahmoud Salim Hafi n’a pas compris, c’est que, une fois rentré à Moroni, son chef va lui indiquer la porte de sortie. Pourquoi? Parce que le fou de Mitsoudjé ne pouvait supporter le désaveu d’un petit garçon qui sait à peine se torcher le cul. Il attend son retour pour avoir lui-même la joie de le chasser du gouvernement afin de démontrer que le jeunot n’a pas quitté un navire qui fait naufrage, mais qu’il l’y a lui-même chassé. Toujours incapable de jeter une rancune à la rivière, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri ne va jamais pardonner les injures parisiennes du «ministre lycéen» sur lui. Cela, le jeune Insulteur national ne l’a pas compris.

Alors qu’un accord est obtenu entre le «ministre lycéen» et son bambochard de chef, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a eu à cœur de faire organiser une conférence de presse mettant en scène deux de ses ivrognes professionnels: Baguiri et le terroriste en bureaux de vote Moustadroine Abdou. Cette conférence est un échec retentissant, même si Baguiri a passé son temps à faire du Baguiri: en amusant le tapis et la galerie. Baguiri finit par qualifier bêtement de «super trahison» la condamnation publique et hautement salutaire faite par Djaffar Ahmed Saïd Hassani des dérives dictatoriales et anticonstitutionnelles du dictateur fou de Mitsoudjé.

Bizarre. Très bizarre, tout de même. Les deux ivrognes ont passé leur temps à parler de la «marginalisation» de Djaffar Ahmed Saïd Hassani au sein du gouvernement «Mabawa» («Ailes de poulets», pour les grillades), alors que le propos central de la très belle déclaration patriotique de l’intéressé ne porte pas sur cette «marginalisation», mais sur les méthodes dictatoriales et anticonstitutionnelles de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Ici, même, nous en avions fait état avant la déclaration du samedi 16 juin 2018. Oui, Djaffar Ahmed Saïd Hassani a centré son propos non pas sur sa place au sein d’un gouvernement «Mabawa», mais sur son rejet total des pratiques dangereuses d’un régime politique dont le chef est un roitelet lubrique, voleur, kleptocratique et sanguinaire.

En tout être humain, en tout dirigeant, il y a un actif et un passif, et Djaffar Ahmed Saïd Hassani a eu l’intelligence de laisser parler sa conscience de juriste. Les faux juristes et mendiants de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé que sont les Ibrahim Ali Mzimba, Madame Saïd Larifou et le criminel ignoble, ignominieux et abject Nourdine Abodo sont incapables de cela. Ils sont attendus… Quant à la démission de Djaffar Ahmed Saïd Hassani, elle n’est exigée par aucun texte juridique.

Par ailleurs, le monde entier se souvient du footballeur colombien Andrés Escobar Saldarriaga dit Andrés Escobar, né le 13 mars 1967 et assassiné le 2 juillet 1994, pour avoir marqué un but contre sa propre équipe, entraînant l’élimination de son pays lors de la Coupe du monde de football qui avait lieu aux États-Unis en 1994. Eh bien, l’ivrogne national Moustadroine Abdou estime que Djaffar Ahmed Saïd Hassani est un joueur qui a marqué contre son propre camp. Dès lors, après avoir évoqué le douloureux souvenir d’Andrés Escobar Saldarriaga, il a appelé le peuple comorien avec insistance à assassiner Djaffar Ahmed Saïd Hassani. Il l’a dit et répété.

Quand l’ivrogne Moustadroine Abdou tenait ses propos haineux d’ivrogne haineux, il est une personne lunatique et sadique qui buvait ses paroles, le sourire ravi aux lèvres, hochant la tête en signe d’approbation: Ambari Darouèche, la première épouse du dictateur fou de Mitsoudjé. La question que le Tout-Moroni se pose est: mais que faisait la vieille rombière, jadis surnommée «La Vieille Marocaine» (elle a étudié au Maroc sans rien comprendre), dans cette conférence de presse complètement débile et ratée? Seuls les initiés triés sur le volet en connaissent la cause. La vieille maquerelle était présente à la conférence de presse uniquement parce que son chéri et elle-même ne faisaient pas confiance à Baguiri. Le couple de voleurs croyait que Baguiri allait lui tourner le dos et faire comme Djaffar Ahmed Saïd Hassani. Le couple de voleurs ne fait confiance à personne. Pour elle, chacun doit veiller au grain afin que les exécutants exécutent bien les ordres.

Mais, il est très grave que la vieille maquerelle assiste à une conférence de presse, même pour s’assurer que Baguiri n’allait pas lui faire un enfant… sur le dos. La messe est dite. Tout le monde était choqué par la présence de la vieillerie ancestrale à cet événement bidon. Très en verve, et très sceptique, la journaliste Faïza Youssouf Soulé, qui en a vu d’autres et qui ne s’en laisse pas conter, posa sarcastiquement les questions qui tuent, allant jusqu’à interpeller l’ivrogne Moustadroine Abdou sur sa propension à appeler à l’assassinat de Djaffar Ahmed Saïd Hassani, appels haineux qui remplissent d’aise et de bonheur la vieille mère maquerelle.

Comme le ridicule ne tue pas, on a entendu Baguiri donner des leçons de civisme et de bonne gouvernance aux Comoriens, lui qui, Gouverneur par intérim de Mohéli sous la présidence de Mohamed Taki Abdoulkarim, avait volé tout le sac contenant le salaire des militaires basés sur l’île, lui qui s’est sucré sur le dos des Comoriens sur les licences d’exploitation des compagnies étrangères, et qui a construit en quelques jours à Fomboni un château pour sa fille, sa femme lui demandant d’attendre un peu pour ne pas attirer l’œil des Mohéliens, lui qui arnaque les Grands-Comoriens pour des trabendos de visas Schengen sans en faire délivrer, lui qui avait arnaqué les villageois lors du conflit meurtrier entre Hantsindzi et Chezani, promettant la victoire judiciaire au village de l’assassin, récoltant des menottes de la part du Procureur Soilihi Mahmoud Mansour dit Sako ou Massakokari, qu’il avait promis de corrompre. «Médecin» autoproclamé, il s’arroge même le droit de s’interroger sur la santé mentale de Djaffar Ahmed Saïd Hassani.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 20 juin 2018.


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