• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Fahmi Saïd Ibrahim et Mouigni Baraka: haine tenace

Fahmi Saïd Ibrahim et Mouigni Baraka: haine tenace

Partagez sur

Fahmi Saïd Ibrahim et Mouigni Baraka: haine tenace

Quand vont-ils jeter leurs vieilles rancunes à la rivière?

Par ARM

     Paix dans la région d’Itsandra.

En bon père de famille et en patriote aimant son pays d’origine, le frère Toihir, Grand Manitou du blog Mbadakome, n’a cessé d’exprimer sa préoccupation intellectuelle et politique du moment: une réflexion philosophique sur le Comorien, l’être humain comorien, et cela, à la lumière d’une actualité chargée de violence politique, de destruction du Droit et de dynamitage de l’architecture constitutionnelle et institutionnelle des Comores.

Le frère Toihir souhaite que cette réflexion philosophique soit menée de manière à tenir compte du positionnement de chacun actuellement, quand certains Comoriens participent à la destruction de leur pays par un dictateur fou furieux qu’on dit originaire du Mozambique, pendant que d’autres se taisent, laissant ceux qui aiment leur pays de manière sincère défendre celui-ci, naturellement au détriment de leur liberté et de leur vie. La finalité de cette réflexion philosophique est de faire comprendre aux uns et aux autres que l’Histoire s’écrit aujourd’hui et que demain, chacun aura à répondre aux lancinantes questions que lui pose sa conscience dès aujourd’hui.

Cette réflexion philosophique est d’autant plus importante que les habitants de la région d’Itsandra expriment des craintes face à l’Histoire, qui s’écrit aujourd’hui. Ils sont inquiets parce qu’ils ne comprennent pas pourquoi deux de leurs brillants enfants, les deux politiciens le plus en vue de leur région, Mouigni Baraka Saïd Soilihi et Maître Fahmi Saïd Ibrahim, répugnent à jeter à la rivière leurs vieilles rancunes et rancœurs.

Le pays est en lambeaux sous les coups de boutoir du médiocre mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Au vu de la gravité et de la pourriture de la situation, n’est-il pas enfin le moment d’arrêter les chamailleries de collège, de parler d’une seule voix et de regarder dans la même direction?

Maître Fahmi Saïd Ibrahim a pour credo politique «J’ai peur de l’œil de l’Histoire». C’est très bien de le dire, et il est temps d’apporter de l’apaisement dans le cœur des Comoriens, notamment dans celui des habitants de la région d’Itsandra, en clarifiant la position de chacun à l’égard des douleurs et des deuils du moment. Demain, donc dans quelques heures, chacun sera jugé à l’aune de ce qu’il fait ou ne fait pas aujourd’hui, et les vieilles querelles de copines de collège doivent appartenir, enfin, au passé.

Quant à Ibrahim Ali Mzimba, originaire du Mbadjini, il n’est donc pas de la région d’Itsandra, mais doit savoir que ses faits, gestes et propos sont épiés et décortiqués. Les Comoriens le regardent et l’écoutent.

Paix dans la région d’Itsandra.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Vendredi 24 mai 2019.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.