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Corruption et menaces pour l’«investiture» du deuil

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Corruption et menaces pour l’«investiture» du deuil

Le pouvoir reprend les saletés de la campagne électorale

Par ARM

     Il ne fait pas de doute que le régime politique le plus vil et le plus corrompu existant sur Terre actuellement est celui du moribond et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». On n’y voit aucune forme de subtilité, ni d’intelligence, mais juste le recours effréné à la force physique. Mais, pour encore combien de temps, jusqu’à quand? Même au Venezuela, les opposants ont le droit de crier leur colère lors de manifestations de rue.

Aux Comores, Hassani Hamadi, Gouverneur légitime de la Grande-Comore jusqu’au 26 mai 2021, a dû fuir un pays en proie au délire et à la folie, pour trouver refuge à Paris, après un passage à Mayotte, où il était arrivé en embarcation de fortune. C’est un signe de plus par lequel se manifeste la folie ayant détruit tout un régime politique de pacotille et à la sauce tomate.

Monsieur le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, moribond et portant les stigmates de la mort sur le corps, notamment sur son front, a fini par arriver aux Comores. C’est un mort-vivant qui est rentré aux Comores. Ce dimanche 26 mai 2019, il va procéder à une «investiture» non précédée d’une élection, puisque cette dernière n’a pas eu lieu le dimanche 24 mars 2019. Or, cette «investiture» est devenue l’objet de la colère et de la haine des Comoriens dans leur écrasante majorité. Ces derniers maudissent et damnent cette malédiction et damnation. Dès lors, la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé va rééditer ses saletés de la campagne pour les élections qui n’ont pas eu lieu en 2019: d’une part, corrompre les plus corruptibles et menacer les fonctionnaires et agents de l’État de représailles s’ils n’assistent pas à la cérémonie du deuil.

Déjà, au cours de la campagne électorale, la dictature transportait par avion les mêmes individus pour ses insipides et soporifiques meetings à travers les îles. Il s’agissait des mêmes personnes, des personnes ayant peur de perdre leurs emplois. Mais, ce n’est pas pour autant que le peuple va baisser les bras. Le dimanche 26 mai 2019, le désaveu du dictateur sera cinglant comme l’était la honte qui a frappé un régime politique maudit qui a dépensé des milliards de francs comoriens au cours d’une campagne électorale de la honte et qui, conscient du fait qu’il était vomi et craché par le peuple comorien dans son ensemble, s’est discrédité à jamais en bourrant les urnes avant l’ouverture des bureaux de vote, vola les urnes à 16 heures, fit évacuer les bureaux de vote deux heures avant l’heure légale de fermeture, proclama des résultats d’une élection qui n’a pas eu lieu et sans avoir l’intelligence de desceller les urnes ayant subi les bourrages.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 22 mai 2019.


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