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Cheikh Salim, Roi des manants nommé Prince des lâches

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Cheikh Salim, Roi des manants nommé Prince des lâches

Il «externalise» son indignité et sous-traite avec Harmia Ahmed

Par ARM

     En mal absolu et dans l’abomination généralisée, le couple de l’année est décidément celui formé des deux serpents que sont Cheikh Salim et la gourmande Harmia Ahmed, sa copine de 30 ans devenue son épouse de 4 mois. Les deux crotales siègent désormais ensemble à la Cour suprême, dirigée par le mamba Cheikh Salim. Cela étant, non seulement cette Cour suprême est le foyer mondial de la lâcheté professionnelle et de la mendicité institutionnelle, mais en plus, est devenue un baisodrome 5 étoiles. Décriée après le transfert des compétences de la Cour constitutionnelles dont elle «bénéficie», elle vient de prouver que les Comoriens avaient absolument raison de rejeter à l’avance de cette mascarade criminelle.

Le lâche Cheikh Salim sait que sa réputation est déjà détruite à jamais par son servilité moutonnière et obséquieuse envers le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ce dernier lui demande d’avaliser des résultats débiles d’un référendum anticonstitutionnel, criminel et bidon. Il était demandé à «sa» Cour suprême de ramener le taux de participation de 63,90% à 62%, pour faire semblant de travailler sérieusement. Ce qui n’est pas sans rappeler l’escroc états-unien Robert Madoff (né le 29 avril 1938), condamné le 29 juin 2009 à 150 ans de prison ferme par le Tribunal de New York et qui n’a pas fait appel: même si sa peine était réduite de 100 ans, il n’aurait toujours aucune chance de sortir vivant de la prison. Alors, à quoi bon se lancer dans des procédures judiciaires uniquement pour des manœuvres dilatoires qui auraient fini dans un cul-de-sac juridiques?

     Cheikh Salim, le Robert Madoff comorien, a cru échapper aux crachats des Comoriens et aux vomissures de l’Histoire en signant une ordonnance confiant à la gourmande Harmia Ahmed, sa copine de 30 ans devenue son épouse de 4 mois, la responsabilité de s’occuper des magouilles administratives et électorales. Or, il revenait à Cheikh Salim, en tant que Président de la Cour suprême, de diriger les travaux de signature, validation et diffusion des résultats tronqués du référendum dévoyé. Sa sous-traitance professionnelle et matrimoniale ne le place pas en dehors de la malédiction des Comoriens.

     Naturellement, la gourmande Harmia Ahmed, la femme sans conscience, ni dignité, a joué le rôle que lui a attribué son amant de 30 et mari de 4 mois. En même temps, dans les couloirs de la Cour suprême, il n’y a qu’une seule chose qui se dit: «Cheikh Salim est un lâche. Pourquoi n’a-t-il pas démissionné ou fait une dénonciation publique comme Djaffar Ahmed Saïd Hassani, s’il est vraiment un homme?». Quand le Roi des mendiants devient le Sultan des lâches, cela signifie qu’il n’a même pas des couilles. Et son frère qui est Cadi ne peut même pas lui enseigner la sacralité des valeurs morales? En tout cas, le malaise est palpable dans l’enceinte de la Cour suprême, le temple du non-Droit.

Le «juriste» Ibrahim Ali Mzimba doit avoir fière allure en constatant les catastrophes qu’il a cautionnées dès le début, pour être dans les bonnes grâces d’une dictature de village dirigée par un fou maudit.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 8 août 2018.


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