Boléro se tue en buvant du café à l’Hôtel Le Moroni
Il fait tout pour se faire nommer Conseiller diplomatique
Par ARM
Le pauvre chéri… Le fugitif international Hamada Madi Boléro se tue en buvant des litres de café à l’Hôtel Le Moroni. Il reçoit à-tout-va. Il dépêche délégations de notables sur délégations de notables à Bête-Salam pour demander au dictateur Assoumani Azali Boinaheri de le nommer Conseiller diplomatique. Son échec honteux pour coordonner le «monologue des sourds» l’a tué. Pour le moment, personne ne sait avec exactitude ce que sera l’issue de sa nouvelle mendicité. Pour rappel, dans le tract anthologique, historique et patriotique «Kala Wa Dala» du 1er mai 2014, les jeunes de Djoiezi, principaux animateurs des débats de société à Poteau Central, haut-lieu des intrigues sociales et politiques de la ville, avaient joyeusement, judicieusement, délicieusement et à juste titre écrit: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha)[«Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 6 décembre 2021.
