• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Au nom du père Nourdine Abodo, fuite du fils Farid Abodo

Au nom du père Nourdine Abodo, fuite du fils Farid Abodo

Partagez sur

Au nom du père Nourdine Abodo, fuite du fils Farid Abodo

La dictature va faire fuir à l’étranger le trafiquant Farid Abodo

Par ARM

     Il est l’un des pires bandits des Comores, de l’océan Indien occidental, de l’océan Indien, de l’Afrique, du Tiers-monde et du monde: Nourdine Abodo, le trafiquant de lingots d’or malgaches de père en fils, le serpent venimeux à la langue fourchue, la vipère infâme, le mercenaire dégénéré, l’ignoble Procureur général de l’ignoble Cour suprême, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salamalecs du temps des Mohéliens de Bête-Salam, cousin du fugitif international Hamada Madi Boléro, spécialisé comme lui dans les fausses exégèses et interprétations du Droit, qu’aucun des deux ne maîtrise. Qu’on se le dise!

En bien, il est de notoriété publique comorienne et malgache que le trabendiste et contrebandier Farid Abodo, fils du voleur Nourdine Abodo, est un trafiquant de père en fils de lingots d’or malgaches, que réclame à grands renforts médiatiques et judiciaires Madagascar. L’héritier du trafiquant de lingots d’or malgaches de père en fils croupissait en prison pour son implication dans le trafic. Eh bien, subitement, il vient d’être placé en «soins médicaux» pour maladie imaginaire et diplomatique à Mdé. Le but de la manœuvre est de le déclarer dans «un grave état médical nécessitant une hospitalisation urgente à l’étranger». La dictature de Mitsoudjé, toute honte bue, le fera évacuer à l’étranger, prétendument «pour raisons médicales», et il pourra aller se la couler douce en France, le temps de se faire oublier. Mesdames, Messieurs, ouvrez bien vos yeux et vos oreilles. Vous allez voir et apprendre que ce funeste projet va se réaliser exactement comme l’annonce aujourd’hui votre site préféré.

Comme du mauvais naît toujours le pire, l’innocent Yasser Ali Assoumani, alors Directeur de l’Aéroport de Hahaya, est sacrifié pour cacher les bandits que sont «le Colonel» Fakridine Mahamoud Mradabi (prétendu ministre de l’Intérieur et d’autres conneries), le «Docteur Colonel Médecin» Naoufal Boina (propriétaire par héritage de son oncle maternel du Service de Santé militaire) et le «Colonel» Youssoufa Idjihadi dit «Youssoufa Mfamanga», «Youssoufa Poisson Séché», ancien vendeur de poisson séché malgache au marché et accessoirement chef d’État-major de l’Armée nationale de Développement (Développement de quoi, s’il-vous-plaît?), et Nourdine Abodo, les vrais cerveaux du trafic. Yasser Ali Assoumani, très malade, a fait des demandes pour être hospitalisé, mais est condamné à mourir de maladie à la prison mouroir de Moroni. Cela s’appelle l’inégalité dans la mort.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Dimanche 14 août 2022.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.