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Assoumani Azali Boinaheri Ben Bouteflika est tombé

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Assoumani Azali Boinaheri Ben Bouteflika est tombé

La dégradation de sa santé a atteint un seuil très critique

Par ARM

     «Au train où vont les choses, bientôt, nous serons dans l’obligation de lui faire porter des couches et une muselière pour l’empêcher de répéter ses bêtises en public, et le transporter sur une chaise roulante comme Abdelaziz Bouteflika. Les dizaines de ventilateurs que nous déployons autour de lui pour éviter un nouveau malaise vagal en public n’ont aucun effet sur son cerveau». Cette observation dénuée de toute forme de charité concerne le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri Ben Bouteflika dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Le dictateur fou de Mitsoudjé est de nouveau tombé, mais devant les siens. Ses voleurs de poules les plus proches étaient tous présents, sauf Bellou Magochi.

     La chose fait rire. Ce fonctionnaire affecté à Bête-Salam est formel: «Nous lui avons trouvé un nouveau surnom: “Notre Abdelaziz Bouteflikaˮ. Je crois même que le Président algérien se porte mieux parce que ses maladies sont visibles. Or, notre Abdelaziz Bouteflika à nous se tient debout tout en étant détruit de l’intérieur. Quand on l’examine et quand on l’écoute, on se rend compte qu’il n’a même pas les apparences d’une personne jouissant d’une bonne santé. Sa diction est catastrophique. Le contenu de son discours est calamiteux. Il est incapable de citer de mémoire une seule date. Comment pourrions-nous confier le sort de notre peuple à un homme au cerveau détruit par un cancer et dont tous les actes témoignent de la gravité de son état de santé? Le pire, c’est que son état de santé ne s’améliore pas, mais se détériore chaque jour, à vue de nez».

La situation est grave. Notre fonctionnaire de Bête-Salam, plus impitoyable que jamais, enfonce le clou: «Azali Assoumani est un mort en sursis qui cherche à se faire tuer pour que son assassin endosse tous ses péchés au regard de Dieu. Donc, ça ne sert à rien de le tuer. Il faut le laisser mourir de ses nombreuses maladies sans avoir à se salir les mains par un assassinat inutile, en tuant un cadavre».

Sans commentaires…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 7 mars 2019.


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