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Ambari Darouèche veut la mort de tous les Anjouanais

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Ambari Darouèche veut la mort de tous les Anjouanais

Pour elle, seuls les Anjouanais doivent et peuvent mourir

Par ARM

     La dictatrice et sorcière Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», ne sait pas parler. Quand elle parle en public ou en privé, elle donne l’impression d’avoir une fosse septique à la place de la bouche.

En mai 2018, elle pontifiait, grognait, aboyait et éructait en ces termes (Vidéo ci-haut): «Et malheur à toute personne qui ne sera pas avec nous: elle ne connaîtra pas de bonheur», «Alors, la voiture est partie, et malheur à ceux qui ne sont pas venus avec nous: ils ne connaîtront pas le bonheur. Que celui qui ne vient pas enlève son enfant de la route sinon, il subira la scie aux dents. Qu’il l’écarte de la route. Si les opposants ne comprennent pas, moi, je ne peux pas défoncer une porte ouverte. Ils ont des cailloux dans la tête, et je ne peux rien leur expliquer. Chassons-les avec mépris», «S’ils ne veulent pas nous suivre, qu’ils se cherchent un autre Dieu […]», «Les opposants disent qu’Azali veut s’accrocher au pouvoir. Il va s’accrocher au pouvoir. Il va s’accrocher au pouvoir» et surtout «Alors, je vous avertis: il ne faut pas affronter la mort pour rien. Il ne faut pas affronter la mort pour rien».

Aujourd’hui, les Comoriens «affrontent la mort», mais pas «pour rien». Les Comoriens affrontent la mort pour défendre leur pays, leur État et ses institutions, leur République, et les valeurs de l’État de Droit et de la démocratie. Les Comoriens ont commencé à mourir exactement comme l’avait prédit dans la menace Ambari Darouèche. Ces Comoriens sont morts et d’autres vont mourir à cause de la maladive et pavlovienne obsession du pouvoir et de l’argent constatée chez son époux, le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

Rappel. Dans la journée du jeudi 28 mars 2019, le Commandant Fayçal Abdou-Salam et le Major Nacerdine Abdourazak dit Moutou ont été froidement assassinés à la demande du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Sans avoir peur de Dieu et des hommes, la dictature suprématiste et villageoise de Mitsoudjé accusa ignominieusement le Commandant Fayçal Abdou-Salam d’avoir tué le Major Nacerdine Abdourazak. Rien n’est plus facile que d’accuser les morts, puisque, par définition, ils ne peuvent pas parler et se défendre.

Et, toute honte bue, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, Ambari Darouèche dite Makapihi, leur mendiant Houmed Msaïdié Mdahoma et leur cohorte de zélateurs fanatisés à mort ont eu l’indécence et l’impudence d’aller présenter leurs condoléances heureuses et joyeuses à la famille du Major Nacerdine Abdourazak, à Mitsamiouli. Sans la moindre gêne, ni humanité, Ambari Darouèche lança à Mme Nouayirata, la veuve de l’officier: «Quand j’ai entendu que Moutou était mort, j’ai cru que c’était un Anjouanais». Donc, comme Bakapihi et Makapihi n’aiment pas les Anjouanais et ne s’en cachent pas, la sorcière vieillissante a dansé le Djaliko en signe de joie, en apprenant la mort d’«un Anjouanais». Pour Ambari Darouèche, seuls les Anjouanais peuvent mourir. Pour Ambari Darouèche, seuls les Anjouanais doivent mourir. Pour Ambari Darouèche, quand quelqu’un meurt aux Comores, il ne peut être qu’un Anjouanais.

La haine bestiale et génocidaire du couple dictatorial de Mitsoudjé envers les Anjouanais est entrée dans l’Histoire. C’est bien le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri qui avait organisé le génocide des Anjouanais en Grande-Comore en avril 1999, juste avant de perpétrer son coup d’État du 30 avril 1999. Voici ce qu’en dit le Président Saïd Mohamed Djohar: «À Moroni, tout allait de mal en pis. Aucune action de la part du gouvernement intérimaire contre ce banditisme apparemment légitimé et soutenu discrètement par les forces chargées de l’ordre public. Les Anjouanais, traqués partout dans l’île, se réfugièrent chez leurs patrons ou leurs amis. Cette anarchie dura une semaine. Certains observateurs avertis pensaient que ce mouvement quasi-raciste était instrumentalisé par une partie de l’armée qui obéissait au chef d’état-major dans le but de déstabiliser le gouvernement intérimaire pour s’emparer du pouvoir»: Saïd Mohamed Djohar: Mémoires du président des Comores. Quelques vérités qui ne sauraient mourir, L’Harmattan, Paris, 2012, p. 337.

Assoumani Azali était ce chef d’État-major qui avait organisé ces pogromes contre les Anjouanais en Grande-Comore en avril 1999.

L’Ambassadeur Soilih Mohamed Soilih vient de signaler avoir entendu le bambochard Assoumani Azali Boinaheri traiter les Anjouanais d’«ennemis des Grands-Comoriens» et de dire qu’il fallait les empêcher de diriger les Comores. Dès lors, le «programme commun de Mitsoudjé» va au-delà de la dictature, de la corruption, de l’incompétence et des assassinats. Il accorde également une place prépondérante à la détestation et au mépris envers les Anjouanais…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 31 mars 2019.


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