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Ahmed Ali Amir est hostile au musèlement de la presse

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Ahmed Ali Amir est hostile au musèlement de la presse

Il fait tout en faveur de la liberté de la presse aux Comores

Par ARM

     Dans l’article «Presse comorienne. L’autosatisfaction de Beït-Salam», paru dans son n°33 du lundi 9 mai 2022, le journal Masiwa entraîne le lecteur et la lectrice dans une confusion monumentale et confondante. Il fait tout pour y entraîner la Cellule de Communication de Bête-Salamalecs, dirigée par Ahmed Ali Amir et parce que dirigée par Ahmed Ali Amir. On y lit, notamment: «La cellule de communication de Beit-Salam pousse le bouchon jusqu’à se satisfaire du fait qu’actuellement, il n’y a aucun journaliste en prison. Ce qui est une réalité. Or le chef de cette cellule de communication, Ahmed Ali Amir, est parmi ceux qui ont toujours dénoncé l’autocensure qui oblige les journalistes à éviter de commenter la politique gouvernementale dans leurs articles pour éviter les ennuis avec le pouvoir. Après de nombreuses arrestations, des violences et même des tortures subies notamment par l’actuel Directeur de l’Information de l’ORTC (la radio et télévision de l’État), Toufeyili Maecha en 2019, les journalistes sont prudents et pratiquent sans limites l’autocensure. Cela d’autant plus que la nouvelle loi prévoit des sanctions plus sévères que les précédentes. L’objectif du gouvernement est peut-être ainsi atteint: pas de critiques, pas d’emprisonnements».

Les vœux sincères d’Ahmed Ali Amir aux Musulmans

Ce n’est pas normal. Il n’est pas normal de nommer les gens de cette façon, parce que la Cellule de Communication de Bête-Salam et Ahmed Ali Amir ne sont en rien responsables de l’état déplorable de la liberté de la presse aux Comores. Ahmed Ali Amir n’est pas un censeur. Bien au contraire, il fait tout pour améliorer l’état de la presse aux Comores. Ce n’est pas parce qu’il est ce qu’il est à Bête-Salamalecs qu’il est un dangereux censeur. Ahmed Ali Amir n’est pas un novice, encore moins un génocidaire de la liberté de la presse, mais un professionnel responsable et respectable bien conscient du regard haineux posé sur lui par les remueurs de poubelles cherchant non pas LE coupable, mais UN coupable sur l’état déplorable de la liberté de la presse dans un pays broyé par une dictature implacable.

Il y a dans la structure mentale de nombreux journalistes et blogueurs comoriens un réflexe de soumission obséquieuse, même chez certains d’entre eux qui vivent à l’étranger, qui regardent ailleurs pour pouvoir aller aux Comores quand ils le souhaitent, pendant que les «farfelus» comme ARM appellent le chat par son nom. On s’autocensure. L’autocensure est la règle, même quand on est libre de s’exprimer. Qu’on se le dise! Souvenons-nous d’Ahmed Ali Amir sous les trois régimes politiques allant du 26 mai 2006 à ce mardi 10 mai 2022. Il a été «puni» en 2011, en 2016 et en 2018 par trois régimes politiques différents, pour avoir eu une «certaine idée de la liberté de la presse aux Comores». On se souvient encore de la façon très musclée et cavalière par laquelle Mme Faïza Soulé Youssouf et Ahmed Ali Amir ont été chassés de la Direction du journal gouvernemental Al-Watwan par la dictature actuelle.

Alors, nous devons être honnêtes et objectifs, et reconnaître qu’un homme propre et intègre peut travailler à Bête-Salamalecs, sous la dictature, de manière officielle, publique et ouverte, pendant que les faux opposants se cachent pour mendier auprès de la dictature qu’ils disent combattre, quand ils ne versent tout simplement leur haine, leur détestation et leurs injures sur le rédacteur de votre site préféré quand il dénonce leur jeu de cache-cache, à coups «d’indemnisations» obscures et officieuses. Heureusement, ce n’est pas seulement chez moi à Djoiezi que tout se sait. Donc, le rédacteur de votre site préféré soutient entièrement Ahmed Ali Amir pour l’excellent travail qu’il fait en faveur de la liberté de la presse aux Comores.

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Mardi 10 mai 2022.


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One Comment

  • Ali Madi

    mai 11, 2022 at 1:26

    Même avec tout un livre courtisan, les hommages pompeuses n’empecheront la descente aux enfers. Les libertés y compris de la presse ne seront acquises avec des outils de collaboration et d’une servilité volontaire.

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