Remaniement de voleurs de poules et de linceuls de mort
Assoumani Azali bénit les vols et caprices kleptocratiques des siens
Par ARM
Franchement, que ce que ça peut faire aux Comoriens si Sa Suffisance Narcissique, Arrogant et Insolent Kamalidine Souef a été chassé du ministère des Finances pour devenir «ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie numérique»? Allons bon! Ils s’en moquent. Comme on dit au Maroc, ce jeu de chaises musicales, «c’est Hadj Moussa et Moussa Hadj». Le 9 mai 2022, le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a été l’auteur d’un non-événement: un jeu de chaises musicales. Il s’agit de maintenir dans un prétendu «gouvernement» un prétendu «ministre» qui a échoué à la tête du prétendu «ministère» qui lui était attribué, mais en le changeant de ministère. Un remaniement ministériel, qu’il soit partiel ou étendu, est toujours la reconnaissance, implicite et explicite, d’un échec patent. On ne change pas d’attribution un ministre qui réussit, même si on maintient en poste un ministre qui échoue. Qu’on se le dise pour que la chose soit claire dans les esprits!
Que s’est-il passé en aval de la poudre aux yeux du 9 mai 2022?
Le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe a procédé à un prétendu «remaniement ministériel technique», et cela, à cause d’une mésentente très grave entre deux voleurs notoires et décomplexés: Sa Suffisance Narcissique, Arrogante et Insolente Kamalidine Souef, alors «ministre des Finances» et autres Balivernes, et Moindjié Saandi, le Trésorier Payeur général (TPG) «Qui commence en général par se payer lui-même». Oui, mais encore… Sa Suffisance Narcissique, Arrogante et Insolente Kamalidine Souef a fait semblant d’un contrôle physique au niveau de la Fonction publique, et même des fonctionnaires anjouanais et mohéliens avaient été obligés de se déplacer jusqu’à Moroni pour prétendument se faire contrôler, à leurs frais, risques et périls et malgré eux, pour piéger le voleur Moidjié Saandi.
En effet, il s’avère que le voleur notoire Moindjié Saandi et ses proches collaborateurs, copains et coquins du Trésor public ont une liste de plusieurs fonctionnaires fantômes qui génère une grosse somme d’argent, en millions de francs comoriens, qu’ils se partagent en toute impunité. Sa Suffisance Narcissique, Arrogante et Insolente Kamalidine Souef a découvert cette affaire et cette manne et a voulu s’en approprier. Oui, il ne voulait pas arrêter le vol, mais devenir le bénéficiaire du vol sur le dos du peuple comorien. Un bras de fer s’est engagé entre les deux mafieux lubriques. Le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe a convoqué les deux voleurs. Le voyou Moindjié Saandi, habitué à voler le peuple comorien sous couvert du couple dictatorial du 30 avril 1999 au 26 mai 2006 et depuis le 26 mai 2016, a dit à son dictateur: «L’un de nous deux est de trop. Soit c’est lui, soit c’est moi». Piégé par ce dilemme cornélien l’obligeant à choisir entre deux des voleurs de son sérail, le dictateur de Mitsoudjé a choisi de procéder à ce fichu remaniement pour voyous et voleurs de linceuls de morts, permettant à chaque voleur de continuer à s’enrichir par le vol sur le dos du peuple.
Pendant ce temps, Miroidi Aboudou, le Directeur général de l’Office national d’Importation et de Commercialisation du Riz (ONICOR), a volé deux cargaisons de riz. Décidemment, «L’émergence à l’horizon 2030» a du bon.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 12 mai 2022.
