Mouigni Abdou veut tuer l’Ambassadeur en France
«Diplomate-Dieu», il dirige «la diplomatie» comorienne
Par ARM
Mouigni Abdou, Ambassadeur, Premier Conseiller et Conseiller aux Affaires consulaires de fait et autoproclamé à l’Ambassade des Comores à Paris, est resté la mauvaise fille qu’il a toujours été. Avec ses manières efféminées de vieille hypocrite («Coco Mnafiki») ne servant plus à rien dans les bordels, s’il portait des pagnes de femmes et se servait de rouge à lèvres, il ne scandaliserait personne tant ceux et celles qui le connaissent et le méprisent sont habitués à le voir en tante. Le retour de Mohamed Elamine Souef, avec qui il a un copinage de 30 ans, à la tête de la pathétique «diplomatie» comorienne lui a donné du zèle et des ailes. Au sein de la vieille fille de la rue Marbeau, à Paris, où il trône en maître des céans, il affiche un narcissisme arrogant qu’on ne retrouve même pas chez les membres de la famille du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Devant tout le monde, il appelle au téléphone son copain Mohamed Elamine Souef, se livre à des minauderies et à des mimiques de vieille fille délaissée, lui dicte ses ordres du jour, regarde les personnes présentes pour être sûr qu’elles le voient et l’entendent donner des Fatwa à son subordonné supposé être chef de la diplomatie comorienne, alors que c’est lui, Mouigni Abdou de Bangoi, «Diplomate-Dieu», qui est le véritable ministre des Affaires étrangères.
Une certaine tendance à l’exagération le conduit à se prendre au sérieux. On se souvient de son naufrage historique sur le plateau d’une télévision africaine le 25 octobre 2018, quand il s’est déclaré non pas Conseiller à l’Ambassade des Comores à Paris, mais comme celui de la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), le parti politique du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Ce fut une horreur médiatique, diplomatique et politique. Actuellement, entre deux séances de rouge à lèvres, il se livre à son exercice favori: tourmenter, harceler, torturer moralement et persécuter l’Ambassadeur des Comores à Paris, supposé être son chef, devenu l’objet de ses caprices de tarlouze. Il veut le tuer et a déjà réclamé son poste. Toutes les deux minutes, il est au bureau de l’Ambassadeur, le menace, lui donne des ordres, sort son téléphone portable, susurre des «Amine» pour signifier qu’il parle à son copain ministre des Affaires étrangères et montrer qu’il accède à lui directement. Il fait vomir certains à l’Ambassade des Comores à Paris. Mais, pour son plus grand malheur, alors qu’il croit avoir raflé à la fois le pompon, le perlimpinpin et le jackpot, il ne sait même pas ce qui se prépare contre lui…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 16 novembre 2019.
