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Le Roi du Hambou n’est pas Empereur en son Royaume

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Le Roi du Hambou n’est pas Empereur en son Royaume

Les vantards de la «Ripoux-blique» ont peur même chez eux

Par ARM

     En faisant un rapide bilan, on découvre avec délectation et plaisir que c’est finalement et paradoxalement à la Grande-Comore que le rejet des «Asseyez-vous et taisez-vous!», de leur Comité de Pilotage et de la politique du «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», est le plus visible. La chose réjouit. Oui, la chose réjouit parce qu’elle permet de remarquer que la guerre entre les îles n’aura pas lieu, nonobstant les manœuvres malsaines, indécentes et criminelles du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. Désormais, les Comoriens aimant sincèrement leur pays peuvent se pâmer de ravissement et d’orgueil en constatant que les «Asseyez-vous et taisez-vous!» ne sont plus un machin des Grands-Comoriens contre les Mohéliens et les Anjouanais. La lente agonie et la mort du Mouvement du 11-Août ont coïncidé avec le ras-le-bol général sur toute l’étendue de la Grande-Comore contre la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.

La réalité est telle qu’aujourd’hui, les trois îles abhorrent, vomissent et crachent les «Asseyez-vous et taisez-vous!». La fronde la plus forte a été constatée tout d’abord, à Anjouan, où la classe politique a eu l’insigne intelligence de mettre en berne ses divergences villageoises et régionales pour parler «national anjouanais». Les Anjouanais se parlent et ça fait du bien à tout le pays. L’île de Mohéli est également mûre pour le coup de feu, mais le légendaire crétinisme du Gouverneur Mohamed Saïd Fazul dit Babadi n’aide pas Mohéli.

Toujours est-il donc que la Grande-Comore est devenue aujourd’hui le porte-drapeau de la contestation contre les «Asseyez-vous et taisez-vous!». Les preuves ne manquent pas à ce sujet. C’est ainsi qu’à Iconi, sur les terres du Prince Saïd Ali Kemal, où s’est marié le bandit Abdallah Saïd Sarouma dit Chabouhane, dit Baguiri, dit Gris-gris, dit Coach et dit Lionel Messi, ainsi que des cadres du pouvoir tels que le secrétaire général de sa «Viceprésidence», le chef comptable de Comores Télécom, le chef comptable de la SNPSF et le Directeur des Nouvelles Technologies (en remplacement d’Ibrahim Abdourazak dit Razida, jugé trop engagé et marqué politiquement), en plus du pantalon déchiré répondant au nom de Mohamed Abdou Mbechezi, etc., le Comité de Pilotage des Assises «nationales» (CPAN) est prié d’aller réfléchir ailleurs avant de s’y présenter. C’est une grave déconvenue…

À Foumbouni, on se rappelle de la désobéissance massive face au diktat ayant conduit la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé à interdire aux Comores la célébration de l’Aïd Al-Kabir le même jour que les autres Musulmans du monde. Les Foumbouniens avaient célébré l’Aïd Al-Kabir à la même date que les autres Musulmans du monde, mais l’affaire avait tourné au vinaigre.

Or, quand on gratte bien, on constate que le danseur du ventre Saïd Larifou, devenu le cireur de pompes du tyran de Mitsoudjé, est originaire de Foumbouni. Comment se justifie la grande gueule du Comité de Pilotage pour tenter d’expliquer qu’il est indésirable, méprisé et détesté dans sa propre ville au point qu’il n’y a pas organisé un meeting de propagande digne de ce nom pour les «Asseyez-vous et taisez-vous»? Et puis, Bellou Magochi, toujours incapable de porter la chaussure droite au pied droit, a un statut social à Foumbouni qui se situe à un niveau vraiment très bas.

Han! Oui, han! Et il s’agit d’un han! de bûcheron. N’oublions pas le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane, le Docteur des Docteurs, le cardiologue des cardiologues. Sa femme est de Foumbouni. Le traître passé d’Ahmed Sambi (qui lui achetait même ses slips, ses collants, son soutien-gorge, ses bonbons Pecto et ses Carambars) au dictateur de Mitsoudjé a déjà rédigé son testament. Mais si, mais si. Il a demandé à être enterré à Foumbouni, comme si Anjouan avait besoin de la dépouille mortelle d’un félon. Les Grands-Comoriens sont réputés respecter leurs beaux-frères. Or, le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane n’a jamais pu organiser à Foumbouni un meeting en faveur des «Asseyez-vous et taisez-vous». En d’autres termes, à Foumbouni, le danseur du ventre Saïd Larifou et son nouveau pote, le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane, sont de détestables et méprisables moutons noirs. Ils ne valent rien.

Nous arrivons à Ntsoudjini. Ha! C’est bien la ville du sieur Saïd Ahmed Saïd Ali, dont il est le beau gosse attitré et le plus titré, lui qui se prend aujourd’hui pour le sosie de William Shakespeare, et surtout son descendant. Oui, Monsieur serait le descendant du plus grand écrivain britannique de tous les temps. Monsieur le Beau Gosse de Ntsoudjini ne sait faire qu’une seule chose: écrire des bêtises et amuser le tapis et la galerie sur Facebook. Il est bête.

Mais, Ntsoudjini est également la ville du Mufti, le pote du dictateur de Mitsoudjé depuis les années de Collège. Pourtant, il n’y a eu aucun meeting en faveur des «Asseyez-vous et taisez-vous!». Saïd Ahmed Saïd Ali est quelqu’un de pas bien. Peu de gens l’aiment. Peu de gens ont du respect pour lui. En réalité, il n’est pas humain. Il s’est enrichi considérablement, notamment en faisant dans le trabendo de visas Schengen, visas pour lesquels il prend toujours l’argent à l’avance, mais qu’il ne fait jamais délivrer. N’est-ce pas la nouvelle spécialité du danseur du ventre qu’est le non-bachelier Saïd Larifou, qui explique aux Comoriens «l’émergence verbale et dansante»?

Bref, le Bambao, Mitsamiouli, Foumbouni et Ntsoudjini ont exprimé à haute voix leur rejet des «Asseyez-vous et taisez-vous!». Tiens! Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!) n’a même pas essayé de faire organiser un meeting dans sa ville d’Itsandra, lui qui est le beauf du tyran de Mitsoudjé. Quel désastre, avec un budget de 100 millions de francs comoriens, qui aurait pu construire un vrai ministère de la Jeunesse et reconstruire l’Institut national de la Jeunesse et des Sports (INJS), laissé à la dérive derrière le seul lycée public – très délabré – de la capitale des Comores!

Que vaut un acteur politique qui n’arrive même pas à faire entendre sa voix dans son propre hameau ou village? Le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri a réglé le problème chez lui, à Mitsoudjé, en faisant de chaque événement social et communautaire un meeting en faveur des «Asseyez-vous et taisez-vous!». Même les enterrements et les baptêmes.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 17 janvier 2018.


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