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Ali Youssouf Mliva en «majorité minoritaire» honnie

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Ali Youssouf Mliva en «majorité minoritaire» honnie

Objet politique inexistant pour une faction inexistante

Par ARM

     Le «donc» qui va suivre n’est pas innocent. Il a son sens et son importance. Et cela, pas seulement sur le plan sémantique et rhétorique. Ali Youssouf Mliva a donc été reçu à Bête-Salam le samedi 19 mai 2018 par le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il portait un costume de mauvaise coupe, taillé dans la mauvaise étoffe, la taille ne correspondant pas à sa corpulence, le regard de fouine fuyant et sur lequel il place un sourire de parvenu, la cravate moche et ressemblant étrangement à celle que porte souvent le criminel qui le reçoit. Son sourire de rastaquouère agace et en dit long sur son banditisme et sa petitesse. Il rit comme une grenouille parce qu’il a été reçu par un tyran de village au cerveau détruit par la maladie héréditaire. Si au moins le fou de Mitsoudjé pouvait soigner ses tenues, notamment les poches de ses costumes… Regardez-le bien sur cette image! C’est honteux et scandaleux!

L’individu Ali Youssouf Mliva a été reçu par son maître en tant que secrétaire général de la «majorité minoritaire» au pouvoir. «Minoritaire» parce que, pour parler de majorité, il faut une majorité. Or, en dehors de l’UPDC, du Juwa et du RDC tendance Mouigni Baraka Saïd Soilihi (99% de l’électorat du pays), il reste quoi sur la place politique aux Comores? Il ne reste rien, si l’on fait abstraction des partis inexistants, des partis politiques des maquereaux et mères maquerelles, des formations partisanes des mendiants, des coquilles vides, des carcans et des carcasses d’hyènes du Ferlo. Ali Youssouf Mliva représente ces bidules sans existence politique en dehors de la servilité obséquieuse, de la prostitution politique et sexuelle, de la génuflexion de l’esclave devant son maître et de la prostitution de la femme par le mari. Un jour, il faudra qu’Ibrahim Ali Mzimba dise aux Comoriens le nom de son parti politique.

En réalité, cet ensemble vide est à l’image d’Ali Youssouf Mliva dit «Mrouvou», «L’homme vide». Pour nous en rendre compte, il suffirait à peine de nous pencher sur son pedigree de voyou sans foi, ni Loi. «L’homme vide» Ali Youssouf Mliva est un gars qui, ne parvenant à rien dans ses études à Madagascar, décida d’arrêter son échec et de partir «à la conquête du pouvoir». Rien que ça! Il avait tenu aux étudiants comoriens à Madagascar le discours suivant: «Restez là à potasser. Quand vous reviendrez à Moroni, je serais déjà bien riche et auréolé des fastes et honneurs du pouvoir». Le bandit! Le fou maudit!

Sitôt dit, sitôt fait. Il rentra aux Comores et créa un semblant de société d’assurances, dont toute la stratégie fut basée sur une parade: se prostituer en politique, obtenir un poste de dirigeant dans une société d’État et obliger celle-ci à être assurée par sa boîte, qui ne pouvait apporter aucune garantie. N’est-il pas «l’homme vide»? Il surfa alors sur l’élection de Mzé Abdou Soulé Elback à la Présidence de l’Île autonome de la Grande-Comore en ses heures de «gloire», se prostitua politiquement de nouveau sous la présidence d’Ahmed Sambi, se faisant passer pour un «faiseur de Roi».

Mais, évidemment, sa nullité et son avidité, qui riment parfaitement chez lui, finissent toujours par vite transparaître. Il en fut ainsi avec Comores Télécom, dont il prétendit assurer des infrastructures coûtant des milliards de francs comoriens, juste avec sa caricaturale société d’assurances, qui n’avait de capacité garantie que de nom. Il en fut de même pour ses actions en politique, qui ne lui permirent même pas d’obtenir une centaine de bulletins de vote dans la ville de Moroni, dont la population avoisine 80.000 habitants au moins.

Pis, profitant d’une nomination et fournissant des documents inventés de toutes pièces, il obtient un crédit à la Banque postale, s’approprie un terrain domanial et y construit une maison. Ne parvenant pas à faire face à ses engagements, il verra «sa maison» être saisie et attribuée à la Cour suprême. Cherchez l’erreur!

Voilà donc (nous revenons au «donc» parce que tout cela est «logique») le genre de bandit que le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri a préféré soutenir en coulisses contre le mendiant Achirafi Saïd Hachim, qui croyait pouvoir s’affranchir, par ce biais, de la tutelle politique de son cadet Maoulana Charif d’Itsinkoudi comme lui et faire oublier au «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri sa tentative de coup d’État contre lui, qui finit en eau de boudin à Mohéli un certain 19 décembre 2001! Le bambochard Assoumani Azali Boinaheri avait porté plainte, et Achirafi Saïd Hachim avait atterri à la Prison de la Santé, à Paris, d’où il ne sortit plus tard que pour passer sa vie à injurier partout le tyran dont il boit aujourd’hui l’eau du slip et des chaussettes puantes, répétant à l’envi aux notables de sa ville et de sa région: «Allez dire à Azali Assoumani que j’ai faim et que je veux manger». Ses amis politiques comoriens à Paris sont des ramasseurs de rats.

Bonjour, les «ambianceurs» aux superlatifs laudatifs de la «majorité minoritaire» maudite, damnée et honnie, où il fallait aussi ne pas laisser la moindre prééminence au mendiant pathologique Houmed Msaïdié Mdahoma, à Monsieur Clown, Maître Clous Saïd Larifou, l’homme qui a contracté des dettes même auprès des mosquées et dont les chèques sans provisions courent les rues, à l’ivrogne Mohamed Issimaïla, au parvenu Ahmed Ben Saïd Jaffar, créature politique d’Ahmed Sambi, qu’il a trahi ignominieusement, tous mendiants faisant les yeux doux à Ambari Farouche Mugabe-Gbagbo, Reine de Mitsoudjé, copine de jeux d’enfance, dans une caserne de Pamandzi, à Mayotte, de l’ancien dictateur, séparatiste et tortionnaire Mohamed Bacar, dont elle dit en public être toujours amoureuse!

Ils se marièrent et eurent de nombreux enfants…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 23 mai 2018.


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