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Ambari, ivre, droguée et fêlée, injurie les Comoriens

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Ambari, ivre, droguée et fêlée, injurie les Comoriens

Ahmed Ben Saïd Jaffar et Saïd Larifou chauffent le salon

Par ARM

     Ambari Darouèche est la première épouse du «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Dans son livre d’entretiens de complaisance avec Charles Onana, qui n’est pas un spécialiste des Comores, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri présente son épouse comme une personne censée être intelligente, en tout cas diplômée de l’enseignement supérieur: «En outre, je n’avais aucune inquiétude sur le plan personnel, car mon épouse, bien que titulaire d’un Diplôme d’Études Approfondies (DÉA), a accepté de cesser ses activités professionnelles pour s’occuper de la famille»: Assoumani Azali: Quand j’étais Président. Entretiens avec Charles Onana, Éditions Duboiris, Paris, 2009, p. 159.

Donc, Ambari Darouèche a un DÉA. À des époques différentes, elle avant moi, nous avons étudié à l’École nationale d’Administration publique de Rabat, au Maroc, où on ne prépare pas de DÉA. À la Faculté de Droit de Rabat, je fis la connaissance d’une de ses anciennes camarades marocaines de classe, avec qui je suis toujours en contact. Ambari Darouèche, qui s’autoproclame «Mère de la Nation», ne sait pas parler, mais aboie, grogne, hennit, menace et insulte les Comoriens, allant jusqu’à dire que son chéri va rester au pouvoir à vie. On vomit en visionnant la vidéo postée sur YouTube le 16 mai 2018 la mettant en scène devant ses obligés et obligées et sur laquelle elle injurie et menace les Comoriens. Ahmed Ben Saïd Jaffar et Monsieur Clown, Maître Clous Saïd Larifou, le plus grand émetteur de chèques sans provisions des Comores, sont ses chauffeurs de salons et «ambianceurs» de cuisine.

La Sultane Mitsoudjé menace et injurie les Comoriens dans un flot de mensonges haineux, de contrevérités fielleuses, d’approximations indécentes et d’autoglorification malsaine: «Nous allons vers le “ouiˮ et le “nonˮ. Après ça, il y aura beaucoup de choses qui ont été déjà décidées. Et malheur à toute personne qui ne sera pas avec nous: elle ne connaîtra pas de bonheur. Nous avons demandé aux membres de l’opposition de se joindre à nous parce que les choses n’étaient pas encore terminées. Nous les avons suppliés, en leur demandant de venir apporter leur contribution. Ils ont dit qu’ils n’allaient pas venir. Alors, la voiture est partie, et malheur à ceux qui ne sont pas venus avec nous: ils ne connaîtront pas le bonheur.

     Que celui qui ne vient pas enlève son enfant de la route sinon, il subira la scie aux dents. Qu’il l’écarte de la route. Si les opposants ne comprennent pas, moi, je ne peux pas défoncer une porte ouverte. Ils ont des cailloux dans la tête, et je ne peux rien leur expliquer. Chassons-les avec mépris. En venant ici, j’écoutais la radio. J’entendis quelqu’un dire qu’on s’acheminait vers de graves troubles et que l’Accord-cadre de Mohéli n’empêchait pas la stabilité du pays. Qu’ils viennent nous rejoindre alors. Si l’Accord-cadre de Mohéli qui a permis son avènement [Ahmed Sambi, dont le nom n’est pas cité une seule fois]. C’est lui qui l’a ramené ici. […].

     C’est lui [Ahmed Sambi] qui a créé les troubles jusqu’à entrer en conflit avec son frère. Récemment, Azali a dit qu’il y avait une question de “Ndrimouˮ [Citron, à Mayotte et Anjouan] et “Ndimouˮ [Citron à Mohéli et Grande-Comore], et vous n’avez pas pu vous entendre. Il [Ahmed Sambi] et n’a pu s’entendre avec Mohamed Bacar, avec qui je suis né et grandi à la caserne de Pamandzi. Il disait “Ndrimouˮ et moi “Ndimouˮ. Azali s’est entendu avec les frères, dont Abeid, et récemment, nous nous sommes rencontrés là-bas en France. […]. Moi, je parle parce qu’il croit qu’il [Ahmed Sambi] est le seul qui connaît les injures. […]. Qu’ils fassent attention à ce qu’ils disent. […]. Pour être mère, on n’a pas besoin d’être une vieille femme. Moi, je suis la mère de la nation. Qu’ils l’acceptent ou pas, c’est moi. […]. Cette nouvelle Constitution va venir et va nous dire quoi? Elle nous demande de changer les choses négatives en choses positives. Qui ne veut pas de choses positives? […]. S’ils ne veulent pas nous suivre, qu’ils se cherchent un autre Dieu […].

     C’est pour cette raison qu’Azali va mettre en jeu son mandat car il y a des gens qui font des moqueries sur sa volonté de le faire et d’abandonner provisoirement le pouvoir. C’est lui [Ahmed Sambi] qui a taillé la Constitution à son costume en 2009, mais Dieu fera en sorte qu’il ne le porte pas une seconde fois. […]. Les opposants disent qu’Azali veut s’accrocher au pouvoir. Il va s’accrocher au pouvoir. Il va s’accrocher au pouvoir. Comme il fait de bonnes choses qui nous sont profitables, il va s’accrocher au pouvoir, et c’est ce que nous demandons à Dieu. […]. Pourquoi ne voulez-vous pas remercier Azali? […]. Azali est né dans la lumière et ne peut pas laisser la population dans les ténèbres. Comme il ne veut pas que la lumière s’éteigne, il fait dormir sa nièce dans les locaux de la société d’électricité.

     […]. Alors, pourquoi les gens s’affolent et s’embrouillent? Il faut leur dire qu’ils ne doivent ni s’affoler, ni s’embrouiller et rien de ce qu’ils feront ne nous fera bouger. […]. Quand nous étions au pouvoir, nous pouvions aller à Anjouan. C’est quand il est arrivé au pouvoir qu’il ne peut plus s’y rendre? […]. Alors, je te somme de ne pas aborder des sujets que tu ne maîtrises pas. […].

     L’enquête a été diligentée. Alors, je vous avertis: il ne faut pas affronter la mort pour rien. Il ne faut pas affronter la mort pour rien. Il a dit à ses partisans que s’il meurt, il faut que ceux-ci meurent pour l’accompagner dans la mort. […]. Que la Justice fasse son œuvre. Je ne m’en mêle pas. Ça ne me regarde pas. Ceux qui lui demandaient de rentrer aux Comores pour créer des troubles l’ont tous fui». Ahmed Sambi a demandé à qui de mourir avec lui?

Ambari Darouèche était droguée et ivre pour se donner en un spectacle aussi pathétique et indigne. Elle était droguée et ivre, et ne se souciait pas du vent qui la déshabillait, pendant qu’elle mentait effrontément, insultait et menaçait les Comoriens, attribuait à son fou de mari le plus brillant des bilans. C’est son chéri qui avait provoqué le génocide des Anjouanais en avril 1999 afin de justifier son coup d’État du 30 avril 1999. Saïd Mohamed Djohar dit: «À Moroni, tout allait de mal en pis. Aucune action de la part du gouvernement intérimaire contre ce banditisme apparemment légitimé et soutenu discrètement par les forces chargées de l’ordre public. Les Anjouanais, traqués partout dans l’île, se réfugièrent chez leurs patrons ou leurs amis. Cette anarchie dura une semaine. Certains observateurs avertis pensaient que ce mouvement quasi-raciste était instrumentalisé par une partie de l’armée qui obéissait au chef d’état-major dans le but de déstabiliser le gouvernement intérimaire pour s’emparer du pouvoir»: Saïd Mohamed Djohar: Mémoire du président des Comores. Quelques vérités qui ne sauraient mourir, L’Harmattan, Paris, 2012, p. 337.

Ambari Darouèche présente son fou de mari en faiseur de paix, alors que c’est lui qui faisait dire aux Anjouanais «citron» en comorien, et malheur à celui qui disait «Ndrimou» au lieu de «Ndimou». Elle accuse Ahmed Sambi de refus et d’incapacité de s’entendre avec les séparatistes de son île alors qu’elle a passé la première partie de son discours à déclarer son amour pour les séparatistes fanatiques Mohamed Bacar et Saïd Abderemane Abeid. Si son voleur de mari avait fait son travail, Ahmed Sambi et le Général Salimou Mohamed Amiri n’auraient pas été obligés de débarrasser Anjouan des parasites cancéreux du séparatisme par le débarquement militaire le 25 mars 2008, ce séparatisme remontant au 16 février 1997. Le fou de Mitsoudjé avait installé au pouvoir à Anjouan Mohamed Bacar, dont est amoureuse Ambari Darouèche. Il faisait des trafics avec lui, le protégeait et couvrait tous ses crimes.

Ambari Darouèche, droguée et ivre, a bien insulté Ahmed Sambi. Normalement, Hadjira Soudi, épouse d’Ahmed Sambi, aurait dû répondre à ses injures et mensonges de droguée ivre, mais elle ne doit pas se rabaisser à son niveau d’indécence. Ambari Darouèche est inhumaine, cupide, vénale, mais quand son mari sera tué, les chauffeurs et «ambianceurs» de salon des injures Ahmed Ben Saïd Jaffar et le bandit de Saïd Larifou ne seront pas là pour rire comme des grenouilles. Bientôt, cette femme arrogante, droguée et ivre devra chercher un lieu pour se cacher parce que le pouvoir qui la rend méprisante envers les autres n’existera plus. Il sera balayé comme un fétu de paille. Ceux et celles qui l’applaudissaient quand elle mentait et insultait les autres ne lui feront même pas l’honneur de cracher sur son gros ventre de femme enceinte de 9 mois. J’avais prédit cela à Ikililou Dhoinine, et aujourd’hui, les gens ne lui adressent la parole que pour lui demander le prix des conserves de tomates, des sorbets, des carambars, des bonbons Pecto et des feuilles de manioc qu’il vend à Djoiezi. Je rappellerai toujours à Ambari Darouèche et à son mari ces versets du Coran:

«Que périssent les deux mains d’Abou Lahab et que lui-même périsse. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu’il a acquis. Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes, de même sa femme, la porteuse de bois, à son cou, une corde de fibres» (CXI, Les Fibres, 1-5).

     Abou Lahab («Le Père du feu») est le seul contemporain du Prophète dont le nom est cité dans le Coran. Il est le modèle du fou de Mitsoudjé, et sa femme celui d’Ambari Darouèche.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 21 mai 2018.


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