Azali est rentré très ronchon de Malabo, et s’enferme
Il n’a toujours pas digéré l’humiliation infligée à Malabo
Par ARM
Le pauvre chéri… Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», est donc rentré de Malabo très ronchon, vraiment très ronchon, incognito, clandestinement, dans la honte et en silence, loin du flafla et des fariboles de son retour du siège de l’Union africaine, quand il venait d’en être nommé le semblant de Président. Le pauvre chéri n’a pas digéré l’humiliation qu’il a subie quand le Président Teodoro Obiang Nguema Mbazogo a refusé de se rendre à l’Aéroport de Malabo pour l’y accueillir: on n’accueille pas celui qu’on n’a pas invité chez soi. Et comme si cela ne suffisait pas, il a fallu qu’il se retrouve seul dans la capitale de la Guinée Équatoriale, où aucun chef d’État étranger ne s’était rendu pour la simple, insignifiante et très modeste remise du Prix International UNESCO-Guinée Équatoriale pour la recherche en sciences de la vie. Rentré incognito et très diminué aux Comores, dans une nuit très noire pour ne pas être vu, humilié, rabaissé, avili, moqué et snobé, il fait la gueule et refuse de parler à son entourage. Trois jours après son retour, le pathétique et pitoyable Saïd Ahmed Saïd Ali, le paparazzi de Bête-Salam, a toujours honte de publier les images de ce retour sans gloire, ni panache. Très ronchon, le chien enragé de Mitsoudjé s’est enfermé et ne veut voir personne. Sa fin commence à être vraiment triste, voire lugubre.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 14 mars 2023.
