Bianrifi voulait taper Fazul, Ambari voulait taper Bianrifi
La dernière visite de la dictature à Mohéli tourna au désastre
Par ARM
Quelle affaire… La dictature était à Mohéli pour cancaner, crâner, gonfler la poitrine, s’auto-glorifier, s’autoproclamer, s’autocélébrer et s’enfler par du bicarbonate de soude. Au cours d’un meeting de propagande mensongère et d’enfumage, Mohamed Saïd Fazul dit Babadi, semblant de «Gouverneur» de Mohéli, se lança dans un gloubi-boulga, fait de galimatias, de stupidités et d’imbécilités. Les Mohéliens l’entendaient débiter ses âneries habituelles, et étaient gênés, dérangés et très en colère contre l’être diminué mentalement dès la naissance, et physiquement détruit par ses handicaps. Les Mohéliens le voulaient mort sur place pour épargner leur île de la honte. Même «le ministre Premier» Bianrifi Tarmindhi était gêné comme un pou, et lui faisait des gestes désespérés pour qu’il se taise enfin. À un moment donné, il voulait se lever et aller le frapper pour qu’il ferme sa bouche. La dictatrice Ambari Darouèche voyait tous les manèges du «ministre Premier» Bianrifi Tarmindhi, et voulait se lever à son tour pour aller le frapper parce qu’elle appréciait hautement les stupidités du stupide Mohamed Saïd Fazul, puisque ce dernier jurait que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est le plus grand des dirigeants du monde, d’une grandeur dépassant celle du Prophète Mohammed Ibn Abdallah. Si les acteurs de la dictature de Mitsoudjé veulent en venir aux mains contre eux-mêmes, c’est que la tyrannie a touché le fond.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 18 octobre 2021.
