Humilié à Malabo, Azali passe 2 et non 7 jours à l’étranger
Son retour aux Comores se fit clandestinement et lugubrement
Par ARM
Examinons la photo ci-haut. En dehors du Président Teodoro Obiang Nguema Mbazogo de la Guinée Équatoriale, pays hôte de la cérémonie de remise du Prix International UNESCO-Guinée Équatoriale pour la recherche en sciences de la vie, on ne voit que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Si c’était une rencontre pour chefs d’État, ça se serait su. Si le chien enragé de Mitsoudjé avait été l’invité du Président Teodoro Obiang Nguema Mbazogo, ce dernier se serait déplacé pour l’accueillir à l’Aéroport de Malabo. Il ne l’a pas fait. Dès lors, le chien enragé de Mitsoudjé a été accueilli par de simples fonctionnaires équatoguinéens. Lors de la cérémonie, la mort dans l’âme et en se bouchant le nez, le Président Teodoro Obiang Nguema Mbazogo s’est retrouvé dans l’obligation de courtoisie d’accorder une rachitique audience au tyran Assoumani Azali Boinaheri. Au cours de cette remise du Prix, on ne vit aucun chef d’État.
Que y faisait Assoumani Azali? Hormis le Président de la Guinée Equatoriale, pays hôte, aucun autre chef d’Etat
Face au cumul d’humiliations, après deux jours seulement passés hors des Comores, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri écourta son voyage bidon, initialement prévu pour une semaine à l’étranger, pour rentrer Gros-Jean comme devant aux Comores dans la plus lugubre des clandestinités. Le pauvre chéri… Quand le correspondant de votre site préféré à Paris, un frère absolument fiable et crédible, un bon père de famille consciencieux, signala cette arrivée lugubre et clandestine en pleine nuit, faisant perdre le sommeil aux autres, il a fallu vérifier la nouvelle auprès de plusieurs personnes pour la confirmer. C’est confirmé. Alors, les questions pleuvent: est-ce que pendant toute une année de semblant de «présidence comorienne de l’Union africaine», on va assister à cette «Présidence des Enfantillages et des Gamineries»?
Comme l’entourage du dictateur fou de Mitsoudjé est composé de lâches, pourquoi dans sa famille, il ne se trouve personne pour lui dire d’arrêter ses âneries et rabibochages? Le comble, c’est que, à la fin de son mandat pathétique, il se bombera la poitrine pour dire qu’il a réussi là où les lucides et les réalistes ne voient qu’une misère de la réflexion et une escalade du ridicule. Naturellement, s’il avait un «ministre des Affaires qui lui sont étrangères» autre que le pittoresque Toiliha ou Dhoihir Dhoulkamal et un «“Con à essayer” diplomatique» compétent et autre que le fugitif international Hamada Madi Boléro, les Comoriens n’auraient pas été obligés d’assister à ce spectacle misérabiliste, après une coûteuse location d’un avion privé. Les Comores sont tombées bien bas…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 13 mars 2023.
