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Sittou Raghadat Mohamed tue les droits et les libertés

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Sittou Raghadat Mohamed tue les droits et les libertés

Sa famille s’en mêle avec mépris, violence et maladresse

Par ARM

       Qu’elle ait été la première femme nommée ministre aux Comores n’intéresse personne aujourd’hui: elle n’était pas la plus méritante. Qu’elle ait la première Députée comorienne n’est pas un fait sur lequel on s’attarde, car on note avec stupéfaction, horreur et indignation, qu’elle a fait de l’opportunisme et de la mendicité politique son assurance-vie sur l’espace public. Mme Sittou Raghadat Mohamed, puisqu’il s’agit d’elle, ne se pose jamais de questions morales et éthiques sur la mort violente, permanente et continue dans laquelle le dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a plongé les Comores, étant un des soutiens les plus fanatisés de sa dictature. Et comment ne le serait-elle pas, par reconnaissance, quand la dictature l’a nommée par pure complaisance démagogique Présidente de la prétendue Commission nationale des Droits de l’Homme et des Libertés (CNDHL). Lesquels? En réalité, sa vraie mission est: répéter que la dictature de son ami est une paisible et agréable démocratie scandinave, où il fait bon vivre, que «tout va très bien dans le meilleur des mondes possibles». «Ça va, aux Comores, tout y va très bien, les droits et libertés sont mieux respectés aux Comores que partout ailleurs. Assoumani Azali Boinaheri est le plus grand démocrate du monde. Il est l’inventeur de l’État de Droit dans le monde. Nos prisons sont un lieu de villégiature et de repos, où il fait vraiment bon vivre».

Sittou Raghadat Mohamed

       Mme Sittou Raghadat Mohamed s’est tellement compromise, salie, avilie, discréditée et décrédibilisée que le frère Abdallah Agwa, le journaliste et militant qu’on ne présente plus, a dit sa volonté de la tuer s’il en avait le pouvoir. Pourquoi donc? Les raisons de cette sortie tonitruante n’est pas un appel au féminicide, mais liées à une grosse déception de voir cette femme insatiable de gloriole par des titres inutiles et liberticides se rendre dans les prisons inhumaines des Comores et accorder des satisfecit à la dictature, en prétendant, toute honte bue, qu’elles sont une oasis de Droit, de droits et de libertés dans l’allégresse et la jovialité. Au lieu de sincérité et dignité, Mme Sittou Raghadat Mohamed demande à ses propres enfants d’insulter sur Internet tout Comorien qui commettrait le crime de lèse-majesté de critiquer sa personne sainte, sacrée et inviolable. Merci. Merci beaucoup. Madame n’a jamais caché sa soumission et son allégeance au dictateur Assoumani Azali Boinaheri, son pote. Elle se moque des malheurs bien réels de la population. Sans la moindre pudeur, elle s’affiche, sourire aux lèvres, avec les pires dirigeants et féaux de la dictature de Mitsoudjé, dont le chien enragé lui-même. Elle est le cache-sexe de la dictature en matière de droits et libertés.

       Comme c’est elle qui doit aider le pays à s’ancrer dans le respect des droits de l’Homme et libertés, comme elle dit toujours, avec sa frivolité légendaire que «tout va bien aux Comores en matière de libertés et des droits», elle fait pire que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri lui-même en ceci qu’elle légitime tous ses crimes, comme le faisait publiquement hier le sieur Saïd Larifou, qui avait dirigé les Assises de la haine, de la division et du mépris, légitimé la suppression de la Cour constitutionnelle et de la Constitution, et chanté «l’émergence à l’horizon 2030». Enfin, les enfants de Mme Sittou Raghadat Mohamed peuvent faire éviter à Maman des critiques bien méritées: qu’elle rentre chez elle s’occuper de ses affaires domestiques au lieu de faire de la complaisance démagogique et criminelle pour un dictateur fou. Elle n’a ni classe, ni personnalité, ni honnêteté, ni dignité, ni professionnalisme pour s’occuper des droits de l’Homme et des libertés. Qu’on se le dise!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 13 mars 2023.


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