Mouigni Baraka dit Shrek, candidat à quel scrutin en 2024?
Le boulanger de la Place Rouge, à Ntsoudjini, s’exhibe tout nu
Par ARM
Donc, Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, est candidat à la prétendue élection dictatoriale qui n’aura pas lieu en 2024? Notez le «donc» en début d’article. Il a son importance. En d’autres termes, Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, officialise la colonisation de l’élection présidentielle par la Grande-Comore pendant 15 ans, et encore, dans la fraude électorale et dans la consolidation de la haine entre les îles. Il sait très bien que la mascarade électorale de 2024 sera une mascarade électorale, mais il a reçu l’ordre de son chef, le dictateur et «pouvoiriste» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», donné mourant à l’horizon octobre 2022, pour cautionner la saloperie électorale de plus en train de se concocter à Mitsoudjé. Si aujourd’hui, ses hommes de main et de bouche se permettent de dire publiquement que celui que des enfants de la communauté comorienne de France ont surnommé Shrek, comme le personnage du film d’animation, est candidat à «l’élection dictatoriale de 2024», c’est parce que la chose a été décidée par le dictateur et «ventriote» de Mitsoudjé, et obséquieusement acceptée par Shrek.
Que veut le dictateur de Mitsoudjé? Il veut que la communauté internationale agrée sa énième mascarade électorale au prétexte que «l’opposant» Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, son larbin, son espion, son chaouch, son esclave servile, y a pris part, parce que le scrutin est «propre». Une bonne fois pour toutes, le peuple comorien et la communauté internationale doivent savoir que Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et son ami Saïd Larifou dit «L’Art-Fou» marchent la main dans la main avec le dictateur et «pouvoiriste» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe, leur chef, celui qui leur donne des ordres. Ce n’est pas pour rien que la très forte mobilisation des Comoriens en France n’a produit aucun résultat. Il y a trop de traîtres dans les rangs de l’opposition, dont les chantres sont Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, et son pote Saïd Larifou dit «L’Art-Fou».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 27 mai 2022.
